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20 mars 2004
Jean-Pierre Legros, dit “Matou”, veut de nouveau faire subir ses violences à André et Marie-Andrée Hoarau en les poursuivant jusque devant leur nouveau domicile.
Bref rappel : accédant à la présidence du Comité des Fêtes de Saint-Pierre, André Hoarau informait aussitôt les autorités judiciaires de son refus de tolérer les jeux de hasard durant les festivités organisées par son association.
De ce jour, André Hoarau, puis son épouse ainsi que leurs deux enfants, n’ont cessé de subir les agressions verbales puis physiques d’un tenancier de jeux de hasard Jean-Pierre Legros dit “Matou”.
L’emprisonnement injustifié (*) d’André Hoarau a vu la “montée en puissance” des agressions de “Matou” contre l’épouse et les deux enfants d’André Hoarau.
Tant et si bien que le 6 juin 2002, “Matou” devait répondre de ses actes devant le Tribunal correctionnel de Saint-Pierre.
Dans son réquisitoire, Madame la substitut Lauqué déclara : "Il faut se mettre à la place de Mme Hoarau. La peur, c’est elle qui la connaît... Je vous demande de déclarer M. Legros coupable et de l’empêcher de poursuivre ses exactions envers Mme Hoarau qui est seule avec son petit garçon..." À l’encontre de “Matou”, il était demandé une peine de six mois de prison avec sursis assortie d’une interdiction de s’approcher du domicile de la famille Hoarau et même de s’en approcher physiquement. Après un court délibéré, le tribunal suivait ces réquisitions y ajoutant l’interdiction des droits civiques pour une durée de trois années.
“Matou” ne se le tint pas pour dit puisque, dans la nuit du 22 au 23 août 2002, armé d’un fusil, il revenait à la charge. Surpris, vers 1 heure du matin par André Hoarau, il lui a tiré dessus le visant à la tête. Grâce à un réflexe providentiel, André Hoarau parvint à esquiver l’essentiel de la charge de la cartouche mais fut blessé blessé à la tête et sous l’œil.
“Matou” s’enfuit. Il sera arrêté, incarcéré puis remis en liberté quelques semaines plus tard. Il devrait être appelé à comparaître bientôt pour cette nouvelle agression qui aurait pu faire de lui un assassin.
Mais, pour la famille d’André Hoarau, trop c’est trop. André Hoarau doit penser à mettre sa famille à l’abri. Il décide donc de mettre en vente sa maison de famille dans laquelle il résidait depuis plus de 25 années. Son souhait était que, seuls les magistrats concernés par cette affaire et quelques uns de ses amis soient informés de son déménagement.
Or, hier soir, tandis que son épouse partait vers le nouveau domicile familial, suivie des deux camions d’une entreprise de déménagement, “Matou” s’invitait à ce cortège et décidait de suivre les camions.
On est en pleine violation du contrôle judiciaire auquel est astreint “Matou”.
Pour quelles raisons “Matou” souhaite-t-il donc connaître l’adresse du nouveau domicile de la famille Hoarau ? Pour l’aider à pendre la crémaillère ou pour préparer une nouvelle agression qui, cette fois-ci, pourrait être fatale pour l’un des membres de la famille d’André Hoarau sinon pour André Hoarau lui-même ?
Voilà une famille qui, lasse de vivre dans l’angoisse se trouve obligée d’abandonner une maison où, en un quart de siècle, elle avait bâti son nid et, au moment où, dans la dépression d’un déménagement non souhaité, elle pense être enfin à l’abri, elle retrouve “Matou” planté devant son nouveau domicile situé à plusieurs kilomètres de La Ravine des Cabris.
Hier soir, André Hoarau et son épouse, assis au milieu des cartons empilés à la hâte dans une pièce de leur nouveau domicile s’interrogeaient : qui, lorsque le danger redevient aussi brutalement manifeste, a le devoir d’agir pour mettre enfin à l’ordre un individu aussi agressif et dangereux que “Matou” ?
Aimé Habib
(*) à deux reprises, la Cour de Cassation a annulé les décisions d’incarcération dont André Hoarau a été l’objet.
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