
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Conséquence d’un conflit impliquant deux importants exportateurs de produits agricoles
9 avril 2022
Alors que la guerre en Ukraine se poursuit, des millions d’enfants au Moyen-Orient et en Afrique du Nord courent un risque accru de malnutrition en raison de la hausse des prix des denrées alimentaires. Dans cette région, jusqu’à 90 % de la nourriture est importée, notamment de grandes quantités en provenance de Russie et d’Ukraine, deux pays en guerre depuis plus d’un mois.
Alors que les musulmans d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient observent le mois sacré du Ramadan, la perturbation des importations causée par le conflit en Ukraine crée des pénuries alimentaires dans un contexte de prix élevés des produits de base, notamment le blé, les huiles alimentaires et le carburant. Si cela continue, cela affectera gravement les enfants, en particulier en Égypte, au Liban, en Libye, au Soudan, en Syrie et au Yémen. Ces pays étaient déjà aux prises avec des conflits, des crises économiques ou une forte augmentation des prix alimentaires mondiaux en 2021.
« Avec les conflits en cours, l’instabilité politique, la pandémie de COVID-19 et la guerre en Ukraine, la région connaît des hausses sans précédent des prix des denrées alimentaires associées à un faible pouvoir d’achat. Le nombre d’enfants souffrant de malnutrition est susceptible d’augmenter considérablement », a déclaré Adele Khodr, directrice régionale de l’UNICEF pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.
L’impact de la poursuite de la guerre en Ukraine aggrave les effets de deux longues années de la pandémie de COVID-19 sur les économies, l’emploi et la pauvreté dans la région Afrique du Nord-Moyen Orient, où plus de 90 % de la nourriture est importée.
De nombreux pays sont déjà aux prises avec la malnutrition infantile, notamment en raison des conflits armés et des crises humanitaires en cours.
- Seuls 36 % des jeunes enfants de la région reçoivent l’alimentation dont ils ont besoin pour grandir et se développer de manière saine ;
- La région connaît des taux élevés de dénutrition et de carences en micronutriments. En moyenne, près d’un enfant sur cinq souffre d’un retard de croissance ;
- Au Yémen, 45 % des enfants présentent un retard de croissance et plus de 86 % souffrent d’anémie ;
- Au Soudan, 36,4 % présentent un retard de croissance et près de la moitié souffrent d’anémie ;
- Au Liban, 94 % des jeunes enfants ne reçoivent pas l’alimentation dont ils ont besoin, tandis que plus de 40 % des femmes et des enfants de moins de cinq ans souffrent d’anémie ;
- En Syrie, seul un jeune enfant sur quatre reçoit l’alimentation dont il a besoin pour grandir en bonne santé. Le prix du panier alimentaire moyen a presque doublé rien qu’en 2021.
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
L’ancien chef de la diplomatie européenne a déclara qu’« en un mois, 550 Palestiniens affamés ont été tués par des mercenaires américains ». Une (…)
Après l’opération militaire d’Israël « Rising Lion » (« Lion dressé ») contre l’Iran dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, et celle (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)