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815 millions de personnes ne mangent pas à leur faim
21 septembre 2017
Selon le dernier rapport des Nations Unies, 815 millions de personnes souffrent de la faim et des millions d’enfants sont exposés à la malnutrition
C’est la première fois que l’UNICEF et l’OMS se joignent à la FAO, au FIDA et au PAM pour préparer le rapport sur l’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde. Ce changement s’insère dans le cadre de la vision plus large du Programme de développement durable et ses objectifs, notamment la partie relative à l’élimination de la faim et de toutes les formes de malnutrition. La Décennie d’action pour la nutrition des Nations Unies, établie par l’Assemblée générale, met l’accent sur cette initiative en incitant les gouvernements à fixer des objectifs et à investir dans des mesures visant à remédier aux multiples dimensions de la malnutrition.
Après une régression constante durant plus d’une décennie, la faim dans le monde progresse de nouveau touchant 815 millions de personnes en 2016, soit 11% de la population mondiale, selon le dernier rapport annuel des Nations Unies sur la sécurité alimentaire mondiale et la nutrition diffusé le 15 septembre. Dans le même temps, de multiples formes de malnutrition menacent la santé de millions de personnes dans le monde.
L’augmentation - 38 millions de personnes de plus que l’année précédente - est en grande partie due à la prolifération des conflits violents et aux chocs climatiques, lit-on dans l’édition 2017 de L’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde.
Quelque 155 millions d’enfants de moins de 5 ans souffrent d’un retard de croissance (petits pour leur âge), révèle le rapport, alors que 52 millions d’enfants souffrent d’insuffisance pondérale (poids trop faible pour leur taille). On estime, en outre, que 41 millions d’enfants sont maintenant en surpoids. L’anémie chez les femmes et l’obésité chez les adultes sont également préoccupantes. Ces tendances sont une conséquence non seulement des conflits et du changement climatique, mais aussi des changements profonds des habitudes alimentaires et des ralentissements économiques.
Ce rapport est la première évaluation mondiale des Nations Unies sur la sécurité alimentaire et la nutrition à paraître dans le prolongement du Programme de développement durable à l’horizon 2030 qui a fait de l’élimination de la faim et de toutes les formes de malnutrition la principale priorité politique internationale.
Il souligne que les conflits - de plus en plus aggravés par le changement climatique - constituent l’un des principaux moteurs de la résurgence de la faim et des différentes formes de malnutrition.
« Au cours de la dernière décennie, les conflits ont considérablement augmenté et sont devenus plus complexes et plus difficiles à résoudre », soulignent dans l’avant-propos du rapport les chefs de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), du Fonds international de développement agricole (FIDA), du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), du Programme alimentaire mondial (PAM) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ils indiquent que les proportions les plus élevées d’enfants en situation de précarité alimentaire et de malnutrition dans le monde sont maintenant concentrées dans les zones de conflit.
« Cela a déclenché des sirènes d’alarme qu’il n’est pas permis d’ignorer : nous n’éliminerons la faim et toutes les formes de malnutrition d’ici à 2030 que si nous nous attaquons à tous les facteurs qui compromettent la sécurité alimentaire et la nutrition. L’édification de sociétés pacifiques et inclusives est une condition nécessaire à cette fin », soulignent-ils.
La famine a frappé certaines parties du Sud-Soudan pendant plusieurs mois début 2017 et le risque est grand de la voir frapper de nouveau là-bas ou dans d’autres zones de conflit, notamment le nord-est du Nigeria, la Somalie et le Yémen, déplorent-ils.
Mais même dans des régions plus pacifiques, les sécheresses ou les inondations provoquées en partie par le phénomène météorologique El Niño, ainsi que le ralentissement économique mondial, ont détérioré la sécurité alimentaire et la nutrition, notent les chefs des agences onusiennes.
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