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Les enfants dans le monde - 1 -
27 juillet 2007
Nous commençons aujourd’hui une série sur les enfants dans le monde. Un regard particulier sur tous ces enfants qui souffrent...
Des millions d’enfants sont aujourd’hui contraints de travailler et beaucoup d’entre eux sont soumis aux pires formes d’exploitation.
Mais certains contribuent ainsi à la survie de leur famille. Difficile dans ces conditions d’avoir accès à une véritable éducation. Loin des idées reçues, l’Unicef a mis en place des programmes d’éducation de base, permettant de lutter contre le cercle vicieux de la pauvreté et du travail forcé.
Il ne joue pas, il ne connaît pas son vrai nom, ni son âge et ne sait ni lire, ni écrire. Comme des milliers d’enfants à Haïti, André a été employé comme domestique. Il fait partie des 218 millions d’enfants travailleurs dans le monde, privés de leur enfance. A la mort de sa mère, André a été envoyé dans une autre famille où il a été exploité. Il a dû consacrer ses journées à faire des tâches ménagères harassantes, sans être payé, ni recevoir de vêtements ou de chaussures. Il était obligé de dormir à même le sol. Aujourd’hui, André a pu échapper à sa famille d’accueil et va désormais à l’école.
Privés d’enfance...
Comme lui, des millions d’enfants subissent des situations d’exploitation. Actuellement, 218 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 17 ans travaillent dans le monde. Parmi eux, plus de 125 millions sont soumis aux pires formes d’exploitation (sont concernés les enfants réduits en esclavage, recrutés de force, victimes de traite, contraints de se prostituer ou de participer à des activités illégales et devant accomplir un travail dangereux). 69% des enfants travailleurs sont dans l’agriculture, 9% dans l’industrie et 22% dans les services. Que ce soit dans les mines, les briqueteries, les usines ou sur les plantations, les enfants sont parfois contraints de faire des tâches épuisantes, souvent dangereuses. Les mines, le bâtiment et l’agriculture sont les trois secteurs professionnels les plus dangereux, en termes de décès, d’accidents du travail et de maladies professionnelles. Les conséquences pour les enfants peuvent être dramatiques. La manipulation de produits toxiques (les pesticides agricoles, les produits chimiques par exemple) et l’utilisation de machines peuvent mettre en danger leur santé. Les enfants, qui travaillent, sont aussi privés d’éducation, ce qui compromet leurs chances de pouvoir s’assurer une vie meilleure et de sortir de la pauvreté. Outre la pénibilité des tâches qu’ils effectuent, les enfants sont également davantage exposés à la maltraitance physique et à l’exploitation sexuelle.
Interdire le travail des enfants ? Pas si simple...
Militer en faveur de l’interdiction du travail des enfants est très important, notamment lorsque les tâches qu’ils effectuent mettent en péril leur santé et que cela les prive de leur droit à recevoir une éducation. Toutefois, il est important de faire la différence entre, d’un côté, des exploiteurs sans scrupules, et de l’autre, les familles dont la survie dépend des revenus générés par le travail des enfants.
L’Unicef ne s’oppose pas au travail des enfants si celui-ci est effectué à la maison ou dans la ferme familiale, à la condition bien sûr que cela ne les empêche pas d’aller à l’école et que cela ne compromette pas leur santé et leur bien-être. L’Unicef a mis en place des programmes permettant aux enfants de travailler et d’assurer des revenus à leur famille tout en recevant une éducation. C’est le cas du Projet d’éducation de base que soutient l’Unicef au Bangladesh. Depuis 1997, ce projet a offert une éducation à 346.500 jeunes travailleurs, dont la moitié était des filles. Ces enfants, qui ont entre 8 et 14 ans, travaillent principalement comme domestiques ou sont employés dans des usines. Le gouvernement offre des incitations financières aux familles des enfants pour compenser la perte de revenu.
Le cercle vicieux de la pauvreté et du travail
La pauvreté est la principale cause du travail des enfants. Lorsque les familles font travailler leurs enfants, c’est souvent par nécessité et non par choix. Cette situation est d’autant plus perverse que ces enfants privés d’éducation auront peu de chance, étant adultes, de pouvoir s’assurer des revenus suffisants pour vivre correctement. A leur tour, ils seront peut-être contraints de faire travailler leurs propres enfants pour assurer la survie de leur famille. Les filles sont par ailleurs particulièrement défavorisées. En effet, après une journée de travail éprouvante, elles sont souvent chargées, de retour à la maison, de s’occuper des tâches ménagères. L’Unicef a ainsi fait de l’accès à l’éducation, notamment pour les filles, une priorité et un moyen de lutte contre le travail des enfants.
(Sources : UNICEF)
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