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Un documentaire accablant pour les forces de guerre russo-américaines
12 janvier 2005
Dans son éditorial du mardi 11 janvier, “Témoignages” a évoqué le documentaire de Jean-Michel Carré diffusé dans la nuit de lundi à mardi par Tempo dans le cadre du magazine ’Contre-courant’ de France 2, sous le titre : ’’Koursk’ : un sous-marin en eaux troubles’. Jean-Michel Carré a enquêté pendant quatre ans sur le naufrage du sous-marin russe en 2000. Et il désigne un responsable : la marine de guerre américaine. Ce magazine a été diffusé en France le vendredi 7 janvier. On lira ci-après l’article que lui a consacré le jour même Jacques Amalric dans le quotidien parisien “Libération”.
(Page 16)
Qui a tué le Koursk, le plus moderne des sous-marins nucléaires russes ? Pendant quatre ans, Jean-Michel Carré a cherché l’explication de ce drame qui, le 12 août 2000, a coûté la vie aux cent dix-huit membres de l’équipage du Koursk.
Sa réponse en surprendra plus d’un, mais elle mérite qu’on la retienne car le documentaire exceptionnel diffusé ce vendredi soir est le résultat d’un travail d’enquête particulièrement sérieux : pour Jean-Michel Carré, en effet, ce sont les Etats-Unis qui sont responsables du naufrage du Koursk et c’est Vladimir Poutine qui a volontairement laissé mourir les survivants de la catastrophe au nom de la raison d’Etat ; il fallait à tout prix cacher une vérité qui aurait non seulement rendu impossible un rapprochement avec les Etats-Unis mais aussi pu dégénérer en affrontement.
La tragédie du Koursk, on s’en souvient, s’est déroulée lors de manœuvres navales et aériennes organisées dans la mer de Barents. À des fins patriotiques certes, mais aussi commerciales.
Le clou de cette démonstration-vente : la torpille Schkval, un engin de deux tonnes capable d’atteindre les 500 km/heure alors que ses rivales occidentales plafonnent à 70 km/heure. De quoi mettre sérieusement en péril la suprématie de la flotte américaine. Surtout si la Russie accepte d’en vendre à la Chine, dont plusieurs hauts gradés ont été invités à assister aux manœuvres de l’été 2000.
L’intérêt des services américains pour la torpille Schkval n’est pas à démontrer ; un homme d’affaires, ancien des services de l’US Navy, Edmond Pope, a même été condamné par un tribunal russe, à la veille des manœuvres, à vingt ans de prison pour avoir tenté d’en acheter les plans à son inventeur. Pas étonnant donc que deux sous-marins américains, le Memphis et le Toledo, aient été dépêchés, par mesure d’intimidation, dans la mer de Barents.
Se serait alors ensuivie une collision involontaire entre le Toledo et le Koursk, suivie de l’envoi d’une torpille du Memphis contre le bâtiment russe pour protéger la fuite du Toledo endommagé. C’est cette torpille qui aurait transformé en catastrophe ce qui n’aurait pu être qu’un accident en faisant exploser le stock de Schkval à bord du Koursk.
La thèse de Jean-Michel Carré s’appuie sur des indices solides :
- les premières déclarations des responsables de la flotte russe, mettant en cause les Etats-Unis (ils ont été limogés mais bien recasés depuis) ;
- un trou dans l’épave du Koursk qui ne peut avoir été provoqué que par l’entrée d’un projectile ;
- la récupération d’une bouée de détresse appartenant à un des sous-marins américains ;
- le refus déterminé des autorités américaines de laisser inspecter le Toledo ;
- le voyage secret effectué à Moscou par le directeur de la CIA trois jours après le naufrage ;
- le refus initial de la part de la Russie de toute aide étrangère pour renflouer un sous-marin qui ne gisait qu’à 108 mètres de profondeur ;
- les mensonges éhontés sur l’état de la mer qui n’aurait pas permis d’agir rapidement ;
- la décision prise par la suite de ne pas remonter le compartiment des torpilles qui fut ensuite détruit au fond de la mer sans avoir été examiné ;
- la censure des messages retrouvés sur certains cadavres de sous-mariniers.
La liste n’est pas exhaustive mais elle suffit dans tous les cas à pulvériser la thèse officielle selon laquelle le Koursk a été victime de l’explosion d’une torpille dont la conception (dangereuse) remonte aux années 50 et plus jamais utilisée depuis.
Le semblant d’enquête, il est vrai, avait été confié par Vladimir Poutine à son procureur des basses œuvres, Vladimir Oustinov, celui-là même qui a été chargé du dépeçage de la compagnie pétrolière Ioukos.
Les Occidentaux, à commencer par les Américains et les Britanniques, se sont bien sûr empressés de confirmer cette fiction, qui a inauguré un retour de la Russie poutinienne vers l’autoritarisme.
Depuis, faut-il le rappeler, ce mouvement régressif n’a cessé de s’amplifier.
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Messages
30 octobre 2007, 17:56, par Michel 05
Il est patent depuis longtemps que la guerre froide s’est non seulement perpétuée mais amplifiée depuis la chute du mur de Berlin.
Le Boeing de la Sud-Corean Airlines n’en est qu’un des aspects. Bien d’autres "accidents" sont survenus entre avions ou sous-marins Soviétique/Russes et Américains entre autres.
Certains accidents sont mêmes devenus des "accidents recyclables" comme celui de Lockerbie. D’abord attribué aux Lybiens pour les besoins de Mme Thatcher et de sa dérèglementation, il est passé grace à Pierre Péan sous la responsabilité des Palestiniens. mais depuis peu on tend à lui trouver un autre commanditaire, toujours pour les besoins de le géostartégie : L’Iran !
Le torpillage du Koursk n’est qu’un des événements d’une troisième guerre mondiale déjà bien entâmée et qui dans les mois, au plus tard les années à venir, va entraîner la Russie dans son sillage. C’est son but et les Américains ne rateront pas cette occasion pour s’emparer de tant de richesses énergétiques.
La thèse du 11 septembre due aux Russes n’ayant eu aucune chance de passer, l’encerclement de ce pays martyrisé sous tous les régimes se fait sous prétexte de sauver le monde des infâmes terroristes.
N’oublions pas les propos de Sibel Edmonds qui jouit du très répandu "privilège" Maccharthyste appelé "State secret privilège". Obligée de ne rien révéler ce qu’elle sait du 11 septembre elle n’en a pas moins déclaré : "... Ces attaques viennent de l’intérieur... Nos libertés sont en danger et ce n’est pas le fait des terroristes mais de notre propre gouvernement..."
Il y a plus de quarante ans JFK avait refusé le plan de la CIA de faire perpétrer des "attaques terroristes" sur le territoire américain par les services secrets. Il l’a payé de sa vie. Nous le payons de nos libertés.