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Les Libyens posent un préalable : la fin de la guerre dans leur pays
5 décembre 2017
Le site web du journal libyen « al-Wassat » qui parait au Caire a affirmé que de gros nuages planent actuellement sur la décision d’Abidjan. Dans un long article publié par le journal, samedi, al-Wassat a indiqué que l’Union européenne ne possède pas les réponses appropriées et précises sur les aspects techniques pour exécuter l’accord d’Abidjan et qui risque de rester une simple annonce de souhaits, menée par la France.
L’article a ajouté dans le même registre qu’aucun pays européen n’a annoncé être prêt pour accueillir un migrant africain ou pour financer des opérations de rapatriement.
Le nombre de migrants qui seront rapatriés sont estimés à 9.700 personnes qui seront ramenées dans leurs pays en accord avec les pays africains et grâce à plusieurs vols à raison de quatre vols par semaine qui seront pris en charge par le Maroc. Ces opérations sont à la fois compliquées et sans garantie, soulignent les observateurs.
Ismaël al-Maghrini (55 ans, ancien officier de de la police) doute de la réussite de l’accord d’Abidjan, notamment en ce qui concerne l’annonce du président français sur la création d’une « force d’intervention de police et de renseignements » sans préciser les missions assignées à cette force ni les bases de son déploiement en Libye.
Il a ajouté qu’à sa connaissance, le président du conseil présidentiel libyen, Fayez al-Sarraj, n’a pas donné son accord pour la constitution de cette force sur le sol libyen, affirmant sa conviction que les Libyens n’accepteront pas la présence d’une force dans leur pays et la combattront notamment avec la circulation des armes.
La plupart des observateurs de la situation en Libye estiment que la décision du Sommet d’Abidjan n’est pas applicable sur le terrain et n’aura aucun résultat palpable pour résoudre la crise des migrants en Libye, affirmant que la majorité est composée d’enfants et de femmes qui cherchent des moyens de subsistance et d’emplois pour aider leurs familles restées sur place dans les pays d’origine.
Pour eux, la solution consiste à régler la guerre en Libye et rétablir la stabilité de ce pays qui accueille des centaines de milliers de travailleurs africains, d’abord et en ensuite lancer des projets de développement dans les pays émetteurs des migrants, mettant en garde en même temps que l’approche sécuritaire révélée par le président Macron risque d’exposer des milliers d’Africains en danger en Libye.
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