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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
9 janvier 2013
L’Organisation internationale du travail (OIT) a prévenu lundi dans un nouveau rapport que le retard accusé par les filles et les femmes dans le domaine des sciences et des technologies est dû à un « problème d’attitude, pas d’aptitude ».
« Les femmes ont tendance à être surreprésentées dans les sciences sociales et humaines et sous-représentées dans les sciences et les technologies » , a précisé Claude Akpokavie, du Bureau des activités pour les travailleurs de l’OIT et auteur du rapport. « Des mesures doivent être mises en place pour remédier à ce déséquilibre » , a-t-il souligné.
Aux États-Unis, une étude menée par l’Université de Yale a révélé que les femmes diplômées en sciences faisaient l’objet de discriminations lorsqu’elles se portaient candidates à un poste de chercheur.
L’Iran a ainsi annoncé que les femmes seraient désormais exclues de toute une série d’études universitaires, dont la physique nucléaire et l’ingénierie électrique et minière.
Pour la directrice du Bureau de l’égalité entre hommes et femmes à l’OIT, Jane Hodges, l’écart entre hommes et femmes dans ce domaine est lié aux attitudes et au partage des rôles bien ancrés dans différentes sociétés qui encouragent les filles à suivre des filières plus « douces ». Le même phénomène est constaté dans les pays développés ou en développement.
« Les filles ont beaucoup moins tendance que les garçons à étudier l’ingénierie, l’informatique ou la physique » , a expliqué Mme Hodges. « Les stéréotypes sur les filles les représentent comme moins intéressées ou moins douées pour certaines disciplines ; comme les mathématiques ou les sciences. Cela réduit incontestablement leur accès à des emplois plus rémunérateurs ou aux marchés du travail offrant davantage de débouchés ».
Cependant, selon Mme Hodges, quand on encourage une participation égale dans les études scientifiques, les filles excellent véritablement. Les femmes décrochent plus de la moitié des diplômes universitaires dans les pays de l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), mais n’obtiennent que 30% des diplômes en sciences et technologies.
« Le pourcentage de femmes diplômées qui s’orientent vers la recherche est encore plus réduit : elles représentent moins de 30% des chercheurs en sciences et technologies dans la plupart des pays de l’OCDE et seulement 12% au Japon et en République de Corée » , a ajouté Mme Hodges.
Une discrimination mondiale
En Arabie saoudite, 65% des inscriptions dans les filières scientifiques en 2010 émanaient de femmes, mais elles ne constituaient que 1% des chercheurs ; un schéma qui se répète dans d’autres zones du Moyen-Orient.
En Chine, plusieurs universités exigent des scores d’entrée plus élevés pour les candidatures féminines. Dans les cursus de sciences de l’Université chinoise de Science politique et de Droit, les femmes devaient obtenir un score d’au moins 632 points aux examens nationaux tandis que les hommes n’avaient besoin que de 588 points.
Les femmes qui choisissent d’enseigner les sciences au niveau universitaire peuvent aussi être confrontées à des obstacles pour progresser.
De nombreux articles sont parus ces derniers mois décrivant des politiques discriminatoires et des disparités criantes entre hommes et femmes dans plusieurs pays autour du monde, notamment aux États-Unis, en Chine, en Iran et dans les pays du Moyen-Orient.
Alors que la main-d’œuvre mondiale s’enrichira de 500 millions de personnes supplémentaires au cours de la prochaine décennie, Mme Hodges rappelle qu’il est crucial que les femmes occupant des emplois scientifiques ou technologiques ne soient pas cantonnées aux postes les moins qualifiés.
« Bien que les femmes occupent plus de 60% des emplois dans le secteur des technologies de l’information et de la communication dans les pays de l’OCDE, seuls 10 à 20% d’entre elles sont programmeurs informatiques, ingénieurs, analystes ou concepteurs système. L’éducation et la formation qualifiante ainsi qu’un changement des comportements sont indispensables pour garantir aux femmes qu’elles ne sont pas marginalisées », a-t-elle conclu.
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