
Hommage à la femme de Bruny PAYET
1er juillet, parLa section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
2 janvier 2007
Oui, le dictateur Saddam Hussein avait sur la conscience (si l’on peut dire) des dizaines de milliers de morts de ses concitoyens. Il a pendant 34 ans soumis son peuple aux pires exactions qui soient. Armes chimiques contre les Kurdes irakiens, tortures, exécutions sommaires, la liste de ses crimes est longue. Et au chapitre de ses “folies”, il a entraîné son peuple dans deux guerres meurtrières (l’une contre l’Iran et l’autre contre le Koweït) qui ont fait des centaines de milliers de victimes. On ne peut pas oublier tous ses crimes, il est coupable, cent mille fois coupable, mais...
Comment peut-on se féliciter de l’« exécution du criminel Saddam », comme le fait le Premier Ministre irakien, Nouri al-Maliki. Ou comme le fait également le président George W. Bush, qui proclame que cette exécution est « une étape importante sur la route de l’Irak vers une démocratie qui peut se gouverner » ?... À l’heure où le 3000ème soldat américain meurt en Irak, et où des dizaines de milliers d’Irakiens sont victimes de cette guerre fratricide, Bush est vraiment mal venu de parler de démocratie.
Comment se réjouir, comme le fait le dirigeant kurde ou comme ce haut responsable israélien sous couvert d’anonymat, ou bien comme Hamid Reza Assefi, vice-ministre iranien des affaires étrangères de l’Iran qui a « salué » l’exécution du dictateur irakien... Comment s’en réjouir ?
L’Europe paraît elle timorée dans ses réactions. La plupart des pays rappellent leur opposition à la peine de mort, mais sans plus. Certains « comprennent », la France « prend acte », Londres « ne soutient pas le recours à la peine de mort »...
Il faut le dire et le redire : rien ne justifie le recours à l’exécution d’un homme. Le refus de la peine de mort est une question de principe. A l’heure où le président de la République Jacques Chirac veut inscrire son abolition dans la Constitution française, c’est-à-dire de la rendre irréversible, il est de notre devoir de refuser où que cela soit cette condamnation. « Nul ne peut être condamné à la peine de mort ».
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