
C’était un 30 juin
30 juin, par1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Entretien avec Frédérique Lebon, déléguée régionale aux droits des femmes et à l’égalité
4 juillet 2005
La violence faite aux femmes est souvent à la Une (insultes, mépris, gifles, coups de pieds, coups de poings, tortures, mort), avec des ex-victimes devenues bourreaux. Pour éviter ces tragédies et le découragement qu’elles peuvent créer, Frédérique Lebon, déléguée régionale aux droits des femmes et à l’égalité, répond aux questions de ’Témoignages’ autour de ce fleau social. Elle parle de prise de conscience récente, de la loi plus protectrice, de l’espoir de soins, de soutien comme avec le 115, et de résilience, contribuant à ’transformer les traumatismes en étapes constructives’, à sortir de l’idée reçue de la violence comme une ’fatalité’. Entretien.
(Page 5)
Mme Lebon, cette situation des violences faites aux femmes à La Réunion est-elle récente ?
- Frédérique Lebon : Le phénomène n’est pas récent. Mais pour répondre avec exactitude, il faudrait avoir des chiffres sur ce qui se passait avant. Or, nous n’en avons pas. Les premiers chiffres que nous ayons sur les violences faites aux femmes à La Réunion sont ceux de l’enquête ENVEFF Réunion, publiés en 2004.
Dans le même temps, Parquet, Police et Gendarmerie ont commencé à fournir des statistiques par sexe : en fonction des types de crimes ou délits, qui sont les auteurs, qui sont les victimes, est-ce que ce sont des hommes ou est-ce que ce sont femmes ? De plus, les violences conjugales étaient enregistrées sous des qualifications de coups et blessures, homicides, mais pas une mention particulière indiquant violences faites aux femmes.
Ce qui est récent, c’est la prise de conscience de ce phénomène. On est passé de ce qui était considéré comme une affaire privée à une affaire publique. Ce fléau social est aujourd’hui une priorité de l’État et du Département à La Réunion.
Qu’a-t-on fait auparavant pour prévenir ces drames familiaux ?
- Frédérique Lebon : Sur le plan local, les pionnières ont été les militantes de l’UFR, l’Union des femmes de La Réunion, rejointes au fil du temps dans ce combat par d’autres associations de femmes ou de familles : l’AMAFAR, l’AFAR, etc. Les réseaux d’éducation populaire, comme l’AREP, ont également permis à des femmes d’échapper aux coups du conjoint violent en les aidant à accéder à l’autonomie.
Pour l’État, à La Réunion, la Délégation aux droits des femmes existe depuis 1977 ; les premiers foyers d’hébergement d’urgence de femmes victimes de violence avaient déjà été créés, à l’initiative d’associations. La mobilisation actuelle est le fruit de ces engagements antérieurs. Ce sont ces initiatives qui permettent aujourd’hui à l’opinion publique de considérer que ces violences sont inacceptables.
L’évolution du droit a été primordiale. On revient de loin ! Le code civil napoléonien, dont l’influence a perduré sur le droit national, excusait le meurtre de l’épouse en cas d’adultère. Pour ne citer qu’un exemple, il a fallu attendre 1980 pour que le viol soit considéré comme un crime. Et 1994 pour que les violences exercées par le conjoint constituent des circonstances aggravantes.
Aujourd’hui, quel est le nombre des femmes battues à La Réunion ?
- Frédérique Lebon : Deux fois plus de femmes meurent à La Réunion par suite de coups et blessures, que dans la moyenne nationale. L’indice de violences conjugales est de 15% à la Réunion contre 9% au niveau national. L’enquête ENVEFF Réunion indique que ce pourcentage correspond à 9.400 femmes par an mises au moins une fois en situation de danger, c’est-à-dire qu’elles ont subi au moins une tentative de meurtre, ou une menace avec armes ou objets dangereux.
Plus difficiles à évaluer, les violences sexuelles dont le niveau de gravité est sans doute sous estimé. L’enquête ENVEFF parle de 3% des Réunionnaises violées au cours de leur vie. Cela signifie quoi ? Vous imaginez par exemple une grande assemblée, allez, on va dire un mariage, vous avez à peu près 100 femmes adultes à la noce, et 3 parmi elles ont été violées.
Prévention et soins
Lors des violences conjugales, les enfants sont présents. Ces enfants vivent et vivront durant toute leur vie avec ces images. Existent-ils un dispositif pour les accompagner dans leur épanouissement de vie d’adulte et de conjoint ?
- Frédérique Lebon : Vous connaissez l’adage : tous les bourreaux ont été des victimes mais toutes les victimes ne seront pas des bourreaux. Heureusement ! Mais il est clair qu’un accompagnement psychologique, thérapeutique, est souhaitable pour toutes les personnes victimes de violences, comme pour celles qui en ont été témoins.
Vous avez aujourd’hui un terme à la mode : “la résilience” dont parle Boris Cyrulnik. Quels sont les déclics, les mains tendues, qui permettent à des gens de transformer les traumatismes en étapes constructives ?
Personne ne peut contester l’impact du spectacle de la violence entre les parents sur les infants. Protéger l’enfance, c’est aussi lui permettre de ne pas vivre l’inacceptable, de ne pas être témoin de ces violences.
Les dispositifs publics existent, vous les trouverez dans les hôpitaux, avec les unités de victimologie ou d’aide médico-judiciaire. Puis vous avez les centres médico-psychologiques, les CMP.
Il ne faut jamais raisonner de façon isolée. L’isolement est bon terreau pour la violence. Par exemple, ne pas raisonner isolé, c’est penser pour l’enfant scolarisé que l’école peut aider, via la rencontre avec le ou la psychologue scolaire. Selon les valeurs des individus, leurs moyens financiers, ce qui est remboursé ou pas par la sécurité sociale, avoir recours à un psychiatre, un pédopsychiatre, un psychologue, etc. sont autant de pistes d’aides. Le tissu associatif offre lui aussi des solutions d’aide, propose des groupes de paroles.
Dans tous les cas, en appelant le 115, une orientation vous sera proposée.
Le système éducatif est de plus en plus sensibilisé à ces questions et le respect mutuel des deux sexes est de plus en plus introduit dans les écoles. Une Convention a été signée entre le Préfet et le Recteur en juin 2004 sur cette thématique.
De quels soins peuvent bénéficier les femmes, les enfants et les hommes victimes de violences ?
- Frédérique Lebon : Ce qui est valable pour les enfants l’est pour les adultes. Appeler le 115 permettra d’avoir l’orientation adaptée. Mais comme pour les enfants, les unités de victimologie, l’orientation vers un thérapeute sont autant de pistes possibles.
Mais les hommes comme les femmes devraient bénéficier d’un soutien et d’un accompagnement. Les premiers pour comprendre et changer, car il n’existe pas d’hommes heureux qui battent leur femme, les secondes pour s’en sortir et revivre en cicatrisant les plaies.
Quelle vie de couple pour les hommes et les femmes qui ont vécu des tels affrontements et violences ? Sont-ils amenés à divorcer ? Quel exemple donneront-ils à leurs enfants et petits-enfants ?
- Frédérique Lebon : Il n’y pas de réponse unique à une telle question. La “résilience” existe dans le couple et en dehors du couple. Malheureusement, la spirale de la violence est un cycle infernal qu’il est peu probable d’interrompre. D’où l’impérieuse nécessité de comprendre que la première fois est la fois de trop. Pour l’exemple donné aux enfants, il paraît clair que les enfants se construiront mieux si la mère refuse cette violence qui si elle reste “pour eux”. Refuser la violence est la meilleure façon de donner toutes les chances à ses enfants pour, qu’à leur tour, ils ne soient ni victimes ni auteurs de violence.
Il n’y a pas de fatalité, ni à la violence, ni à la vie après la violence.
Propos recueillis par Jean Fabrice Nativel
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
10 000 citoyennes et citoyens – paysans, scientifiques, médecins et victimes – se sont mobilisés dans plus de 60 villes en France pour alerter sur (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Médam zé Méssyé, la sossyété zot i ansouvien lo tan l’avé lo pou. Sa té in problèm pou zabitan noute péi pars pou-la sa i grate la tète, é i rann (…)
Les députés ont inscrit dans la loi un premier objectif d’atteindre « 87,5% » du Smic dès le 1er janvier 2026, tout en assurant de « prioriser le (…)
« Nous préparons actuellement une grande conférence sociale rassemblant responsables politiques, économistes et partenaires sociaux, pour tracer (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)
Messages
3 février 2009, 06:29, par Anifa
bonjour mon amie est au bord du suicite et elle a 3 enfants. Depuis qu’elle a demandé le divorce elle et ses enfants vivent dans la peur et ils sont obligés de prendre de l’"exomyl" tous les soirs. elle veut se mettre à l’abris car elle sait qu’il ne va pas tarder à la frapper ainsi que ses enfants. Comment faire pour l’aider ?
7 mars 2009, 12:31, par Louisa
Bonjour Anifa ,
Je comprends votre situation et puisque vous avez internet , je vous propose de chercher un site sur la protection des femmes battues,dont je n’ai pas l’adresse. Centre de protection. Il en existe plus d’un et merci pour votre amie de vous en soucier. Elle peut aussi aller dans un centre médico psychologique afin d avoir une aide gratuite par une équipe de soins dont elle a certainement besoin. Accompagnez-là ou renseignez-vous sur le n°de telephone. Etant suicidaire , elle a surement pas le courage de faire de démarches. Dites lui que ses enfants auront besoin d’elle et qu’elle sera aidée et soutenue. Bon courage..
25 septembre 2010, 00:03, par fembatu
bnj !!!! au début cétai l’amour fou et apres paffffff !!!! on a kan même vecue enssemble pendant 7ans et on a hu trois beau enfants !!!! a chaque fois qu’il me battai il me promété qu’il changerai et qu’il recommencerai plus !!!moi je l’aimais tellement que le croyais au bout de 7 ans ya 3 PLAINTE POUR VIOLENCE conjugale !!! un rappel a la loi !!! et ce fameux SOIR du VENDREDI 24 -09-2010 ben la il a voulue vrément me TUER !!!! et je vous assure que j’ai vue la mort de tres pres !!!!!!!!!!!!!!!15 jour ITT et jen ai marre !!!SVP AIDER MOI a sortir de cet enfer !!!!!!les procédurs sui son court !!!!!!!!!!!!!!!
27 septembre 2010, 10:48, par Geoffroy GÉRAUD-LEGROS
Bonjour,
mon adresse :
[email protected]
Le numéro de l’Union des Femmes Réunionnaises (UFR) : 0262 55 59 82
Courage,
GGL
17 février 2011, 13:13, par RAISSA
bonjour,je suis une femme mariée depuis 13ans, séparée depuis septembre 2010, mon mari ma trompée et suite a les agressions de sa part et harcelée par sa maitresse j’ai donc décidée de le quitter, j’ai 2 filles et j’ai un lupus j’ai une fille qui stresse autant que moi parce que j’ai peur de sortir de peur d’ètre agressé par mon mari ou sa maitresse ils m’ont déja fait des menaces de mort mon mari ma frappée devant les filles, il a essayé de m’étoufé avec un oreiller, j’ai déja essayé de me tuer avec des médicaments mais j’ai juste dormi pendant 3jour , mon problème je n’arrive plus a gérer le moindre petit stresse suite a tout sa, je n’arrive plus a dormir sans médicaments heureusement j’ai ma famille a coté de moi pour mes filles, mais tout sa ne me déstresse pas,je suis désolé, désemparé anéanti je n’arrive plus a vivre tout simplement.J’aimerais beaucoup avoir de l’aide pour réapprendre a vivre pour mes filles.Merçi d’avance espérant une réponse trés vite
17 février 2011, 16:21, par Marie-Aurore
La première chose que vous devez faire, c’est PORTER PLAINTE à la police ou à la gendarmerie CONTRE VOTRE MARI ET SA MAîTRESSE. Ensuite, il faudrait que vous trouviez refuge chez des amis, une amie, une tante, une cousine, etc... Si vous n’avez personne qui puisse vous accueillir, alors le soir et la nuit, verrouillez votre porte, fermez bien toutes les issues de votre maison de façon à ce que votre ex-mari et sa maîtresse ne puissent pas entrer. Si votre terrain n’est pas clôturé, il faut le faire clôturer sans délai et verrouillez systématiquement votre portail derrière vous chaque fois que vous sortez et que vous entrez. Vos filles doivent faire pareil si elles sont grandes (plus de 1O ans).
Je ne sais pas ce que c’est qu’un "lupus" mais je vais regarder dans le dictionnaire pour voir ce que c’est. Il s’agit peut-être d’une affection dermatologique, je ne sais pas... A la gendarmerie, il faut dire que votre ex-mari et sa maîtresse vous ont menacée de mort : c’est un facteur aggravant pour eux qui aidera les gendarmes à prendre votre plainte au sérieux.
16 avril 2011, 07:57, par nina
BONJOUR je vie avec mes 3 enfants et mon mari il boire je suis victime morale et fisique
mes enfants soufre et j’ai mal de les voir comme ça je voudrai partir j’ai peu ce qu’il peu peu nous faire ; conseil moi svp merci
15 juin 2011, 17:54, par rose
bonjour. Je suis inquiète pour ma soeur agée de 26 qui vient de divorcé a un homme qui lui fesait cocu avec lequel elle a eu un enfant. Aujourd’hui sa fait un an et demi qu’elle est divorcé et qu’elle a refait sa vie mais avec un homme violent. Il a commencé par la rabaisser lui manquer respect devant les gens et casser ses affaires personnels. Par la suite, la violence c’est dirigé vers elle sachant qu’elle est enceinte de 5 mois il lui a tiré les cheveux, donner des coups pieds dans le derrière et marcher sur le ventre. Actuellement c’est le sujet conversation de la famille qui souhaite l’aider sauf qu’elle prétend d’être heureuse et que son conjoint et formidable. Je voudrais l’aider, l’aider a ce qu’elle ouvre ses yeux et qu’elle ne subit plus cela. Je compte sur vous pour me conseiller.
27 septembre 2011, 18:39, par line
bjr, je vis avec quelqu’un de violent il est très agressif, jusqu’à présent il ne m’a pas encore frappée physiquement mais c’est parce que je me pli et je fais tou ce qu’il veut, on a eu 3 enfants ensemble, quand je ne fais pas ce qu’il veut que ce soit a manger, au lit ou dans la vie quotidienne il s’enerve et casse les choses qu’il sait qui on 1 intérêt pour moi par exemple (mon gsm ou mon ordi) et il a la même réaction avec les enfants, une fois il a demander a l’un de mes fils de lui apporter de l’eau a table et comme le gamin était entrain de jouer a son playstation et qu’il a mit un peu de temps a faire ce qu’il voulait il casser le matériel de jeu. je suis complètement perdue, il m’insulte, à la maison, dans la rue, dans le téléphone quand je suis au travail, a chaque occasion qui se pointe et me dit plein de choses qui de + en + m’affecte, tellement qu’il me fais des sales coups quand il me propose de sortir ensemble je refuse parce que je m’attend au pire.Lui a le droit de faire ce qu’il quand il veut et moi je suis sa chose, sa bobonne quoi ! Il veut qu’on ai encore d’autres enfants alors que moi je n’en veut plus, là encore trop de mauvais souvenir, mais je n’arrive pas a placer 1 seul mot au sein de notre couple parce que j’ai trop peur de lui, il a éloigner toutes mes amies et toutes ma famille et au jour d’aujourdui je n’ai plus personne, je supporte pour mes enfants mais parfois je ne suis au bord du rouleau, je ne sais plus quoi pensé et ce que je peux faire, AIDER MOI !!!!!!!! je sais que si je pars il viendra me chercher et se sera 1 nouveau drame parmi celles qui y sont déjà passées.
25 novembre 2011, 19:02
bonjours, je n’ai jamais vécue ce genre de situation, bien que je soit un homme, mais j’ai déjà vue de telles souffrances dans une autre famille... la femme était toute dévouée à son marie, elle faisait à longueur de journée tout ce qu’il désirai en se privant de tout, en le faisant passer avent ces enfants. lui, son marie, alcoolique, sadique, et plus capricieux qu’un enfant, ne travail pas, passe ces matinées devant la "buvette" quand il viennent de toucher les allocations familiales. quand il rentre vers midi, il ne comprend plus rien et commence à l’insulter, à jeter les marmites qu’elle à cuisiner depuis le matin dans l’arrière coure, à lui balancer tout ce qu’il à sous la main dans la figure. et aussi traumatisée qu’elle puisse être, quand elle ne bouge plus, ne lui répond plus, il se calme et reste assis dans le canapé devant la tv jusqu’au soir en s’assurant qu’elle lui apporte ces cigarettes, ses boissons, qu’elle fasse cuire le dîné... j’aurais aimer dire que une fois, je suis partis chez eux pour une journée et ça c’est passer comme ça, mais malheureusement non, ça fait plus de onze ans que je les connais, et c’était tout les jours, plus ou moins, comme ça... c’était tout pour lui et rien pour sa femme et encore moins pour ces enfants, un pure égoïste... malgré les conseils de ces enfants qui sont majeures maintenant, et ceux de son entourage, ce n’est que maintenant que ça femme s’est résolue à le quitter pour de bon et recommencer sa vie doucement avec ceux qui l’aime. au début elle était hébergée chez ces enfants à tour de rôle et chez ses soeures. au bout de quatre mois environ, elle à pue avoir son appartement, et maintenant elle est tranquille, du moins, elle revis. je ne sais pas si cette histoire peut vous aider, mais pour moi, dans la vie, il ne faut pas avoir peur de prendre son destin en main...
6 octobre 2012, 20:20, par v
bonjour je m’appelle V je suis une jeune fille de 21 ans j’ai un copain depuis 4 ans. avant je vivais chez mon pere et lui chez sa mere mais elle me detestait elle m’insulter dans le dos de son fils mais quand celui ci la découvert il a quitté sa maison pour moi cela fait 5 mois que nous vivons ensemble hélas à ces frais car je ne travaille pas ayant quitté l’école a cause de lui car j’étais enceinte. depuis et meme avant c l’enfer m’insulte tous les soirs en sortant de son travail il casse tout dans la maison sous prétexte qu’il a payé toute ces affaires et qu’il est fatigué de tout payer je ne l’ai pas demandé de vivre avec moi au contraire je lui dit tous les jours de rentrer chez sa mere mais il refuse car trop de fierté. aujourd’hui je m’en prend plein la figure il m’arrache les cheveux me mord coup de pied dans le ventre et dans le dos renverse table et chaise sur moi me verse de l’eau froide et me JETTE dehors je n’ai rien a manger car je n’ai pas d’argent. il mange devant moi et dit qu’acheter a manger pour 2 c beaucoup trop cher, pas de carte de secu rien. mes parents ne veulent plus me voir je n’ai ni famille ni ami je suis enfermé et surveillé 24h/24. il dit que je suis inutile bonne a rien maudite malédiction et que je ne le mérite pas et pire encore que j’en ai honte. je l’ai souvent fuit mais il me retrouve. je n’ai personne a qui parler et nulle part ou aller. j’ai envie de mourir pour en finir car maleureusement sans lui je suis a la rue mais je suis a bout dois je supporter tout sa pour avoir un toit. aider moi svp je regrette telmen ma vie