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Un article du Comité Solidarité Chagos La Réunion dans CIDEFIL
16 septembre 2013
Le journal CIDEFIL est le journal des élus républicains de France. C’est un journal qui est lu par des milliers d’élus en France. Il paraît chaque jour et à l’occasion de la Fête de l’Huma (qui a lieu les 14 et 15 septembre prochains) il fait appel à des contributions riches et variées.
C’est ainsi que le Comité Solidarité Chagos La Réunion a été sollicité la semaine dernière par l’entremise du PCR pour donner un article à ce journal. Sitôt dit, sitôt fait ! ... et l’article du Comité a été publié jeudi dernier dans l’édition de CIDEFIL, avec deux photos. Samedi, à l’initiative du PCR, l’Espace des élus communistes et républicains a accueilli un débat intitulé ’Solidarité avec les Chagos’.
L’histoire tragique des Chagossiens est celle d’un petit peuple de l’océan Indien dont les droits les plus élémentaires ont été sacrifiés sur l’autel des intérêts géostratégiques des Occidentaux. Pour permettre la création d’une gigantesque base militaire américaine à Diego Garcia, l’île principale des îles Chagos, les Britanniques — à l’initiative des États-Unis — ont vidé l’archipel de tous ses habitants.
Les Chagossiens ont été déportés entre 1967 et 1973 de leurs îles de Diego Garcia, Peros Banhos et Salomon. Ils ont été “évacués” pour la plupart vers Maurice avec la complicité des autorités politiques locales de l’époque. Abandonnés à leur sort et déracinés, ils ont vécu misérablement en proie au désespoir.
C’est dans les années 80 que leur résistance s’organise, avec la création en 1983 du Groupe Réfugiés Chagos, avec à sa tête Olivier BANCOULT. Face à cette violation flagrante du droit international de la décolonisation et des droits fondamentaux de l’homme, les Chagossiens ont toujours affirmé leur droit imprescriptible au retour dans leurs îles natales.
Leur long combat judiciaire devant les tribunaux britanniques, de 1998 à 2008, après des victoires en première instance, s’est soldé par une non-reconnaissance de leurs droits. De même la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg a refusé de juger du fond du problème en décembre 2012.
Mais le peuple chagossien, spolié de sa terre, n’en poursuit que plus courageusement sa lutte. La mobilisation progressiste et solidaire internationale doit continuer à s’élargir et se renforcer pour faire triompher la juste cause des Chagossiens : le retour sur leur terre de ces “Palestiniens de l’océan Indien”.
Comité Solidarité Chagos La Réunion
le 11 septembre 2013
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