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Droits humains
14 juin 2013
Après trois années consécutives de contraction en période de crise, les flux migratoires sont de nouveau orientés à la hausse, principalement en raison des tendances observées au sein de l’Union européenne. Mais les perspectives d’emploi se sont assombries pour les immigrés, un immigré au chômage sur deux environ en Europe étant à la recherche d’un emploi depuis plus de 12 mois, selon un nouveau rapport de l’OCDE.
Aussi bien en termes d’arrivée que de pourcentage de la population, la France est un pays où les immigrés sont proportionnellement moins nombreux que dans la plupart des pays développés.
Selon leshttp://t4-site-mgr.oecd.org/termina...“Perspectives des migrations internationales 2013”, les migrations vers les pays de l’OCDE ont augmenté de 2% entre 2010 et 2011, pour atteindre près de 4 millions. Les données nationales récentes laissent à penser que cette progression s’est poursuivie à un rythme comparable en 2012.
?« Les pouvoirs publics doivent déployer tous les efforts possibles pour améliorer les perspectives d’emploi des immigrés », a souligné Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDE, lors de la présentation de l’étude à Bruxelles aux côtés de László Andor, Commissaire européen à l’Emploi, aux Affaires sociales et à l’Inclusion, et de Cecilia Malmström, Commissaire européenne aux Affaires intérieures. « Il est capital de s’attaquer dès maintenant au chômage élevé et au chômage de longue durée. En continuant d’œuvrer en faveur de l’intégration des immigrés, on veille aussi à ce qu’ils puissent jouer un rôle moteur dans la croissance à mesure que l’économie mondiale se redresse ».
Départs des pays les plus en crise
Les migrations au sein de l’Union européenne ont augmenté de 15%, après avoir chuté de près de 40% pendant la crise. Les départs des pays les plus durement touchés par la crise s’accélèrent, avec une progression de 45% entre 2009 et 2011.
Depuis 2007, le nombre de Grecs et d’Espagnols qui émigrent vers d’autres pays de l’UE a doublé, pour atteindre respectivement 39.000 et 72.000. En Allemagne, le flux d’immigrés grecs s’est accru de 73% entre 2011 et 2012, tandis que le flux d’immigrés espagnols et portugais a augmenté de près de 50% et que celui des immigrés italiens a progressé de 35%.
Les migrations vers les États-Unis sont restées relativement stables en 2011, en hausse de 2% seulement. Les migrations à destination de l’Italie ont en revanche reculé de 11% : le niveau de l’immigration y est désormais inférieur de 44% à celui observé en 2007.
Mais la situation des immigrés sur le marché du travail s’est nettement dégradée, avec une hausse du chômage de près de 5 points de pourcentage entre 2008 et 2012, contre une progression de 3 points pour les autochtones. Les jeunes et les travailleurs peu qualifiés ont été les plus durement touchés et les premières victimes de cette tendance sont les immigrés en provenance d’Amérique latine et d’Afrique du Nord.
Les jeunes les plus touchés
Le chômage de longue durée a fortement augmenté parmi les immigrés. Dans les pays de l’OCDE, la proportion d’immigrés sans emploi depuis plus d’un an est passée de 31% de l’ensemble des chômeurs en 2008 à 44% en 2012. Selon l’OCDE, les États qui rencontrent des difficultés financières doivent éviter de réduire de façon disproportionnée les budgets des programmes d’intégration des immigrés et se concentrer sur les mesures les plus efficaces, comme les cours de langue et la formation professionnelle, tout en ciblant les groupes les plus vulnérables, tels que les jeunes.
Les débats en cours sur la réforme de l’immigration dans les pays de l’OCDE devraient prendre en compte la nécessité de continuer à attirer les travailleurs qualifiés tout en soutenant l’intégration des immigrés déjà installés.
Selon le rapport de l’OCDE, une augmentation du taux d’emploi des immigrés au niveau de celui des autochtones aurait des retombées économiques positives importantes, surtout dans des pays comme la Belgique, la France et la Suède, dont les populations immigrées sont relativement importantes et établies de longue date. L’impact fiscal actuel des vagues successives d’immigration des 50 dernières années est quasi nul en moyenne dans la zone OCDE. L’emploi est le principal déterminant de la contribution fiscale des immigrés.
Pour y parvenir, l’OCDE considère qu’il est essentiel de lutter contre la discrimination. L’étude a évalué l’ampleur de la discrimination dans différents pays et montre que c’est un phénomène plus répandu que ce que l’on pense. Il n’est pas inhabituel qu’une personne ayant un nom à consonance étrangère doive envoyer au moins deux fois plus de candidatures qu’une personne dont le nom n’a pas de consonance étrangère pour décrocher un entretien d’embauche.
Grèce et Espagne : Émigration Depuis 2007, le nombre de Grecs et d’Espagnols qui émigrent vers d’autres pays de l’UE a doublé, pour atteindre respectivement 39.000 et 72.000. Allemagne : Immigration En Allemagne, le flux d’immigrés grecs s’est accru de 73% entre 2011 et 2012, tandis que le flux d’immigrés espagnols et portugais a augmenté de près de 50% et que celui des immigrés italiens a progressé de 35%. Discrimination Selon l’OCDE, « il n’est pas inhabituel qu’une personne ayant un nom à consonance étrangère doive envoyer au moins deux fois plus de candidatures qu’une personne dont le nom n’a pas de consonance étrangère pour décrocher un entretien d’embauche » . |
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