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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
4 décembre 2007
Un programme de 44 millions de dollars a été lancé en vue de diminuer de 40 pour cent la mutilation génitale féminine/l’excision (MGF/E) dans 16 pays d’ici à 2015 et de mettre fin à cette pratique traditionnelle préjudiciable en une génération.
L’initiative lancée par l’UNFPA, le Fonds des Nations Unies pour la population et l’UNICEF le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance, incitera les communautés à abandonner la MGF/E par des campagnes d’information et par l’instauration de partenariats avec les gouvernements, les chefs religieux, les professionnels de la santé génésique, les médias et la société. Elle cherchera aussi à influer sur les lois et leur application ainsi qu’à connaître et à faire connaître les raisons pour lesquelles des normes négatives perdurent et la manière de les faire changer pour améliorer le bien-être des femmes et des filles. De nombreux autres partenaires s’y associeront.
Le programme visera aussi à amplifier les efforts locaux et nationaux prometteurs et à instaurer un cadre mondial commun pour l’abandon progressif de la pratique.
Entre deux et trois millions de femmes et de fillettes subissent chaque année le MGF/E, consistant à enlever en partie ou dans leur intégralité les organes génitaux externes de la fille ou de la femme pour des raisons culturelles ou autres que thérapeutiques. La pratique qui touche 100 à 140 millions de femmes et de filles dans le monde constitue une violation de leur droit à la santé et à leur intégrité physique.
La Norvège est devenue par une donation d’environ 3,5 millions de dollars, le principal donateur de l’initiative conjointe axée sur 16 pays africains où la pratique est largement répandue. Diverses formes de MGF/E ont aussi été signalées dans des parties de certains pays du Moyen-Orient et d’Asie, dont l’Inde, l’Indonésie, la Jordanie, la Malaisie, les territoires palestiniens occupés, l’Oman, le Yémen et parmi quelques communautés kurdes en Iraq. Elle existe aussi parmi les communautés d’immigrants du monde entier.
Purnima Mane, Directrice exécutive adjointe de l’UNFPA responsable des programmes, a, dans une allocution prononcée lors d’une réunion avec le gouvernement norvégien, exhorté la communauté internationale à « faire davantage pour protéger les millions de femmes et de filles qui sont en danger tous les ans. Il est important de mettre fin à la mutilation génitale féminine/l’excision pour parvenir aux objectifs du millénaire pour le développement. Cela contribuera à leur émancipation, améliorera la santé maternelle et diminuera la mortalité infantile ».
Elle a souligné l’urgence d’éliminer la MFG/l’excision, particulièrement en raison de tendances fâcheuses comme la médicalisation croissante de la pratique, une augmentation rapide du nombre d’excisions pratiquées sur de très jeunes enfants pour éviter les plaintes auprès des autorités chargées de faire appliquer la loi et la tendance croissante à des mutilations plus limitées au lieu de l’abandon total de la pratique.
« En combattant cette pratique, nous renforcerons la position des femmes et des filles, améliorerons la santé maternelle et diminuerons la mortalité infantile » a déclaré M. Erik Solheim, ministre norvégien du développement international en annonçant la contribution de son pays à la campagne.
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