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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Assurer à tous le droit à des soins
30 septembre 2009
Les gouvernements nationaux, en accord avec les agences internationales et les bailleurs de fonds devraient reconsidérer leur décision d’expulser les Personnes vivant avec le VIH/SIDA, ont affirmé des associations de droits de l’Homme.
Un rapport publié jeudi par quatre associations de droits de l’Homme et de Personnes vivant avec le VIH/SIDA, décrit des cas présents en Corée du Sud, en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis, en Afrique du Sud et aux Etats-Unis où des Personnes vivant avec le VIH/SIDA ont été expulsées. Selon ces organisations, il est indispensable de développer des politiques qui garantissent un traitement ininterrompu pour cette catégorie de personnes.
Le rapport, intitulé "Retour au risque : Expulsion de migrants séropositifs", a été rédigé par Human Rights Watch, Deutsche AIDS- Hilfe, l’Association européenne pour le traitement du SIDA et le Réseau de politiques africaines sur le VIH.
Les migrants, qui vivent avec le VIH/SIDA, sont souvent explicitement exclus du traitement, a affirmé Katherine Todrys, Chercheur au department Santé et droits humains de Human Rights Watch.
Une fois détenus, ils n’ont souvent pas accès aux antirétroviraux et lorsqu’ils sont expulsés, ils n’ont pas la possibilité de se soigner, a-t-elle affirmé.
Les associations ont appelé les gouvernements et les bailleurs de fonds à s’assurer que les migrants séropositifs avaient accès aux antirétroviraux une fois détenus et de s’assurer également qu’une fois expulsés, les migrants auront accès au traitement et aux soins.
Selon le rapport, beaucoup de pays ne fournissent pas de traitement aux migrants vivant avec le VIH qui sont en détention pour immigration. Le document indique également que l’absence de continuité du traitement pour les migrants pourrait conduire à la maladie, à la mort prématurée et au développement de la résistance aux médicaments.
Plutôt que d’empêcher le rapatriement des migrants séropositifs dans leurs pays où le traitement n’est pas disponible, certains pays expulsent en fait des migrants à cause de leur statut sérologique, a affirmé Peter Wiessner, de Deutsche AIDS-Hilfe.
Citant l’Afrique du Sud, le rapport a indiqué que l’incapacité de continuer le traitement équivaut à une sentence de mort pour les Personnes vivant avec le VIH qui sont renvoyées au Zimbabwe.
Aux Etats-Unis, le rapport indique qu’il y a un faible accès au traitement lors de la détention et des conditions difficiles ou un manque d’accès au traitement médical pour certaines personnes séropositives.
Les gouvernements se sont engagés à atteindre l’accès universel au traitement du VIH pour tous ceux qui ont en besoin d’ici 2010, a affirmé Titise Kode du Réseau de politiques africaines sur le VIH. Mais avec près de 192 millions de personnes ou 3 pour cent de la population mondiale vivant hors de leur pays d’origine, assurer aux migrants et aux expulsés l’accès à un traitement du VIH est absolument indispensable pour atteindre cet objectif.
Le rapport a lancé un appel aux gouvernements pour s’assurer que les personnes séropositives aient accès au traitement et que la question de l’expulsion de personnes séropositives vers des pays où le traitement et les structures d’appui social sont inadéquates soit réexaminée.
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