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L’armée israélienne contrainte d’accepter un cessez-le-feu sans condition -2-
26 mai 2021, par
Le Conseil de Sécurité de l’ONU s’est réuni à la demande de 3 pays : la Chine, la Tunisie et la Norvège. L’obstruction d’un seul pays, les États-Unis, a empêché le vote d’une résolution. Finalement, une grande réunion publique a eu lieu sur le thème suivant : « la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne ».
C’est à cette rencontre que le représentant égyptien a eu cette expression : ne pas « réinventer la roue », pour rappeler la solution onusienne à la coexistence de 2 États voisins.
Cette solution à 2 États aurait été réalisée depuis longtemps, s’il n’y avait pas l’obstruction des États-Unis et de nombreux autres pays occidentaux. Trump ira jusqu’à faire de Jérusalem la capitale d’Israël et y installer l’ambassade de son pays. Du coup, le conflit palestinien évolue sur le fond, car les Musulmans considèrent cet acte comme un sacrilège. Sur place, ce fut un encouragement aux expulsions de Palestiniens de Jérusalem Est. L’ONU qui a toujours considéré Jérusalem comme un lieu Saint, où cohabitent plusieurs religions, n’a jamais réussi à imposer à Israël sa solution à 2 États.
Au fil du temps, cette solution politique et diplomatique est battue en brèche par ceux qui considèrent qu’ils n’ont plus rien à perdre, même par centaines de morts, ils se préparent à vivre en « martyr ». Ils font partie de la ligne de front de la résistance et fustigent les pays musulmans qui s’acoquinent avec l’ennemi israélien. Le Hezbollah au Liban, allié du Hamas, a demandé à Netanyaou d’agir avant que ce ne soit trop tard. L’option ultime est la destruction de l’Etat d’Israël.
Les milliers de roquettes (artisanales) balancées sur les villes d’Israël ont ébranlé le moral des habitants : la sécurité n’est plus assurée et la normalisation avec des pays arabes est menacée. Il fallait rassurer et accepter l’idée qu’il n’y a pas d’autres options.
Parrainée par les États Unis, le cessez-le-feu « sans conditions » pourrait offrir une lecture sous-jacente du déclin américain.
Il a dit : « Je suis convaincu que les Palestiniens et les Israéliens méritent tout autant de vivre en sécurité et de jouir d’un même niveau de liberté, de prospérité et de démocratie ». Il y voit une opportunité d’avancer vers la paix. Mais en disant que « mon administration poursuivra ses efforts diplomatiques discrets », il expose une méthode spécieuse, éculée, non démocratique, irrespectueuse du droit international. Biden n’a jamais remis en cause la politique de Trump vis – à – vis de Jérusalem. Des immeubles qui s’écroulent, des écoles et des hôpitaux qui sont détruits, des enfants tués, ce ne sont jamais des actes démocratiques et civilisés.
En fait, Biden montre qu’il n’a pas la capacité de s’attaquer à plusieurs fronts en même temps. Ce conflit ne faisait pas partie de son agenda qui est d’affaiblir la Chine et la Russie [1], par des sanctions inconsidérées et l’accusation d’absence de liberté et de démocratie. L’occasion était trop belle pour la Chine de montrer, à l’ONU, que les États-Unis n’étaient pas les amis des musulmans.
Sur le plan intérieur, malgré l’activisme débordant de Biden, la crise sanitaire n’est pas terminée. Maintenant, l’inflation menace la stabilité du pays. C’est la conséquence de l’injection dans le circuit financier de milliers de milliards d’argent facile qui donne l’illusion d’un pays riche alors qu’il est incapable de réduire une dette réelle de plus de 30 000 milliards de dollars. C’est bon pour la consommation immédiate mais la société américaine n’a réglé aucun de ses maux structurels.
A mon avis, les pays du Moyen-Orient vivront libres, prospères et en Paix quand les États-Unis cesseront de jouer les maîtres du monde et que les peuples souverains seront respectés. D’ici-là, la solidarité réunionnaise envers la Palestine doit se poursuivre, dans l’unité de la société réunionnaise, comme nous le faisons depuis 70 ans.
Ary Yée Chong Tchi Kan
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