
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Journée mondiale contre la violence faite aux femmes
25 novembre 2019
La violence contre les femmes et les filles est l’une des violations des droits humains les plus répandues et les plus dévastatrices dans le monde, mais elle est souvent passée sous silence en raison de l’impunité, de la honte et des inégalités entre les sexes, a souligné hier l’ONU à l’occasion de la Journée mondiale contre la violence faite aux femmes et aux filles.
Un tiers des femmes et des filles subissent des violences physiques ou sexuelles au cours de leur vie, la moitié des femmes tuées dans le monde l’ont été par leur partenaire ou leur famille, et la violence perpétrée contre les femmes est une cause de décès et d’incapacité aussi courante chez les femmes en âge de procréer, que le cancer et une cause de maladie plus grave que les accidents de la route et la malaria réunis.
La prévalence du problème, « signifie quelqu’un autour de vous. Un membre de la famille, une collègue de travail, une amie ou même vous-même » a été victime de ce type d’abus, a déclaré le Secrétaire général António Guterres dans son message pour marquer cette Journée.
« La violence sexuelle contre les femmes et les filles est enracinée dans des siècles de domination masculine », a-t-il ajouté, rappelant au monde que la stigmatisation, les idées fausses, la sous-déclaration et la mauvaise application des lois perpétuent l’impunité dans les affaires de viol.
« Tout cela doit changer...maintenant », a exhorté le chef de l’ONU.
« Si je pouvais faire exaucer un vœu, ce serait de supprimer totalement le viol », a pour sa part déclaré la Directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, dans son message à l’occasion de la Journée.
« Le viol n’est pas un acte isolé. Il endommage la chair et se répercute dans la mémoire. Il peut avoir des résultats qui changent la vie, des résultats non choisis - une grossesse ou une maladie transmise », a expliqué Mme Mlambo-Ngcuka, ajoutant que les conséquences d’un acte ponctuel peuvent s’étendre à des effets néfastes à long terme.
« Il s’agit d’un effet durable et dévastateur qui touche d’autres personnes : la famille, les amis, les partenaires et les collègues », a-t-elle poursuivi.
La Directrice d’ONU Femmes a souligné les vulnérabilités des femmes et des filles.
« Dans la grande majorité des pays, les adolescentes sont les plus exposées au risque de violence sexuelle de la part de leur mari, partenaire ou petit ami, actuel ou ancien. De par notre travail sur d’autres formes de violence, nous savons que des millions de femmes et de filles ne sont pas en sécurité chez elles », a précisé Mme Mlambo-Ngcuka.
Elle a également déploré « une sous-déclaration importante des agressions et l’impunité persistante des auteurs de viols ».
« Moins de dix pour cent des femmes ayant cherché de l’aide après avoir été victimes de violence se tournent vers la police », a précisé Mme Mlambo-Ngcuka expliquant que « dans de nombreux pays, les femmes savent qu’en signalant une agression sexuelle, elles risquent bien plus d’être blâmées que ce qu’on ne pourrait le penser et elles doivent faire face à un sentiment de honte injustifié ».
De manière quasi-universelle, la plupart des auteurs de viols ne sont pas dénoncés ou restent impunis, a-t-elle ajouté.
La cheffe d’ONU Femmes a appelé à la criminalisation du viol, placer la victime au centre de l’intervention et à demander des à comptes aux violeurs.
« Ceux qui utilisent le viol comme une arme savent parfaitement à quel point il traumatise et réprime la voix et l’action. C’est un coût intolérable pour la société », a affirmé la Directrice.
« Plus aucune génération ne doit subir les conséquences du viol. Nous sommes de la Génération Égalité et nous mettrons fin au viol ! », a lancé Phumzile Mlambo-Ngcuka.
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