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La vie au quotidien
13 février 2013, par
C’est hier après l’école où elles ont récupéré leurs gamins que l’on rencontre Sabrina et Christine chez elles dans leur logement social.
• Sabrina
« A compter du 20 du mois, c’est difficile »
Arrivée au domicile, elle convie son enfant à prendre le goûter : du pain, de la confiture et un verre de jus de fruit. Ces aliments sont « indispensables pour son bien-être », explique la maman. Et d’une manière générale, c’est l’achat d’aliments qui lui revient cher.
Précisions : Sabrina travaille comme agent d’entretien dans une école. Elle perçoit 700 euros mensuels plus les allocations pour la marmaille, l’aide au logement, et de bons du CCAS quand elle ne sait plus vers qui se tourner.
L’addition de ces sommes avoisine les 1.200 euros environ. Pour autant, elle passe d’un mois à un autre difficilement. A compter du 20 du mois, toutes les dépenses soustraites, il lui reste pas moins de 200 euros pour vivre.
Elle a aussi relevé que les prix de divers articles sont repartis à la hausse depuis le début de l’année.
• Christine
5 centimes enlevés sur un article, 10 ajoutés sur un autre
Christine est mère célibataire au foyer. Avant la venue du môme, elle bénéficiait d’un contrat à mi-temps dans une crèche. Entre avant et maintenant, rien n’a changé. Bien au contraire, le quotidien est angoissant.
Certes, on lui verse sur le compte les allocations familiales, sur celui de la société immobilière l’aide au logement, etc. Elle veille aux dépenses comme do lé si’d fé. Chacune d’entre elles fait l’objet de comparaison. En effet, elle conserve les divers prospectus.
Au final quand elle sort de ces temples de la consommation, la facture demeure élevée. Et ce même si elle achète les produits soi-disant en promotion. En tout cas, elle ne lui profite pas. On enlève 5 centimes sur un article, on met 10 sur un autre. Voilà, la supercherie selon elle – à vérifier.
En bref, agit-on vraiment pour que les familles les plus modestes puissent vivre convenablement ?
JFN
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