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Liban
23 novembre 2007
L’élection présidentielle a été de nouveau reportée et l’opposition menace de former un gouvernement parallèle.
Semaine décisive avec l’expiration samedi du mandat du Président Émile Lahoud, dont la succession n’a toujours pas fait l’objet d’un compromis entre les différents dirigeants politiques, en dépit des pressions internationales. Alors que les responsables étrangers se succèdent à Beyrouth pour favoriser un accord entre la majorité parlementaire et l’opposition, les craintes de certains que les deux camps ne parviennent pas à élire un président mercredi, date de la séance parlementaire consacrée à l’élection, se sont avérées fondées : le scrutin a été reporté à vendredi.
Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, arrivé dimanche soir à Beyrouth, s’est ainsi déclaré “moins confiant” quant à une sortie de crise, évoquant “la brisure du camp chrétien”. Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa craint que l’échec du processus ne plonge le pays dans le chaos. L’opposition a menacé de former un gouvernement parallèle à celui de Fouad Siniora, scénario identique à celui des dernières années de la guerre civile.
« Nous avons besoin d’un miracle tellement les dirigeants politiques sont divisés. Il est difficile d’imaginer qu’ils vont se mettre d’accord sur quelque chose », affirme Oussama Safa, président du Centre libanais des études politiques. « Même s’ils parviennent à élire un président, le pays restera paralysé car il y aura encore à résoudre la question de la formation d’un nouveau gouvernement », explique-t-il. Selon Elias Attallah, de la Gauche démocratique mais rangé dans le camp Hariri, l’opposition insiste pour choisir un seul candidat, Michel Eddé, considéré comme une personnalité d’ouverture. Michel Eddé, plusieurs fois ministre entre 1966 et 1998, est l’actionnaire principal du quotidien francophone libanais l’Orient-Le Jour. « Nous refusons cette condition », affirme Attallah. « Nous voulons aller au Parlement avec deux noms : Michel Eddé ou Robert Ghanem, ou Michel Eddé et Michel Khoury. »
En l’absence d’accord, la majorité, qui dispose de 68 députés (sur 127) au Parlement, entend élire le président à la majorité simple. Pour l’opposition, tout président élu en l’absence du quorum des deux tiers serait un “usurpateur”. De son côté, le président Émile Lahoud a averti qu’il nommerait le chef de l’armée à la tête d’un gouvernement provisoire s’il n’y avait pas de consensus.
P. B.
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