
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
265 décès suite à des arraisonnements
16 octobre 2024
Entre janvier et juillet 2024, 189 personnes, dont des enfants, auraient perdu la vie lors des traversées et 265 lors des opérations d’interception en mer.
Des experts indépendants des Nations Unies se sont alarmés, lundi, des rapports faisant état de violations des droits humains à l’encontre de réfugiés et de victimes de la traite lors d’opérations de recherche et de sauvetage et de transferts vers les zones frontalières.
Ils notent qu’entre janvier et juillet 2024, 189 personnes, dont des enfants, auraient perdu la vie lors des traversées et 265 lors des opérations d’interception en mer ; 95 personnes sont portées disparues et, dans certains cas, elles pourraient être victimes de disparitions forcées ou d’actes assimilables à des disparitions forcées.
« Nous avons reçu des rapports choquants faisant état de manœuvres dangereuses lors de l’interception de réfugiés et de demandeurs d’asile en mer, de violences physiques, y compris des coups, des menaces d’utilisation d’armes à feu, l’enlèvement des moteurs et du carburant, et le chavirement des bateaux », ont déclaré les experts.
« Les rapports reçus font état d’allégations de transferts forcés arbitraires vers les frontières avec l’Algérie et la Libye, sans accès à l’aide humanitaire », ont déclaré les experts, « sans tenir compte des risques de déshydratation, de malnutrition ou de blessures causées par les coups de soleil ».
Pour ceux qui sont ‘sauvés’ par les garde-côtes, y compris les victimes de la traite, leur situation ne ferait qu’empirer au moment du débarquement dans les ports. Les experts ont également fait part de leurs préoccupations concernant les informations selon lesquelles les réfugiés et les demandeurs d’asile subsahariens sont soumis à des degrés de violence plus élevés de la part des forces de sécurité tunisiennes.
« Nous sommes consternés par les violences signalées et l’usage excessif de la force lors de ces transferts. Les réfugiés et les demandeurs d’asile, y compris les enfants et les femmes enceintes, seraient emmenés dans les zones désertiques à la frontière avec l’Algérie et la Libye, et les gardes-frontières leur tireraient dessus s’ils tentaient de revenir », ont affirmé les experts.
Malgré ces « graves allégations », la Tunisie continue d’être considérée comme un « lieu sûr » après les opérations de recherche et de sauvetage en mer.
En effet, la coopération se poursuit après la conclusion du protocole d’accord sur un partenariat stratégique et global entre l’Union européenne et la Tunisie, « ce qui porte gravement atteinte aux droits de l’homme internationaux et au droit international des réfugiés », ont regretté les experts.
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)