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Le Gisti rencontre le ministre de l’immigration
13 juin 2007
Nathalie Ferré, présidente du Gisti - Groupe d’information et de soutien des immigrés -, et Stéphane Maugendre, vice-président, répondant à l’invitation de Monsieur Hortefeux, se sont rendus au ministère de l’immigration le 11 juin 2007.
Le Gisti a remis aux ministres deux documents dont il est signataire et qui, chacun à sa manière, rappelle certains principes auxquels l’association est attachée :
• le Manifeste intergouvernemental euro-africain sur les migrations, les droits fondamentaux et la liberté de circulation (Rabat, juillet 2006) ;
• la Déclaration commune pour une autre politique d’immigration de l’UCIJ (Paris, mars 2007).
Le Gisti a entendu rappeler ainsi les bases sur lesquelles devrait, selon lui, reposer toute politique migratoire :
- le respect du droit international des personnes migrantes, notamment la Convention ONU relative aux droits des travailleurs migrants ;
- l’abolition de toutes les mesures faisant obstacle aux possibilités de regroupement familial ;
- l’instauration d’une réelle égalité des droits des personnes vivant en France, quelle que soit leur nationalité ;
- la régularisation des migrants sans papiers ;
- le renoncement à la politique sécuritaire et répressive, ce qui inclut notamment l’abandon de l’“externalisation” de l’asile et des contrôles aux frontières ;
- la suppression des conditions imposées aux pays du Sud dans les négociations internationales (aide publique au développement, co-développement...) et tout particulièrement celle de la sous-traitance de la lutte contre l’émigration.
Lors de cette rencontre, il a longuement été question du regroupement familial. Pour le ministre, le droit de mener une vie familiale paraît accessoire : composante essentielle de l’“immigration subie”, il faut, selon M. Hortefeux, le contenir et le limiter en lui ajoutant de nouvelles conditions. Mais, assurait-il hier, il était ouvert au dialogue, et le prochain projet de loi n’était pas “bouclé”. À lire “Le Figaro” du 12 juin, le texte semble cependant à ce point peaufiné qu’il a été déposé devant le Conseil d’État par le gouvernement : aux conditions déjà fort nombreuses du regroupement familial, s’ajoutera la maîtrise du français avant le départ. Pour le ministre, le dialogue s’avère purement décoratif.
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