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« Marche Blanche » en demi-teinte
26 novembre 2007
Près d’un millier de personnes a répondu samedi à l’appel du Collectif “Marche Blanche” pour, en choeur et avec le coeur, dire : « Non aux violences faites aux femmes ». De 50 manifestants il y a 5 ans à 1 millier aujourd’hui : cette mobilisation fait naître l’espoir d’un réveil des consciences, d’un refus collectif de ce fléau qui gangrène notre société. Mais un espoir suivi d’une claque. Ce même jour, on apprend la disparition de la CODEV. Une annonce comme un coup de poing lancé aux visages des associations engagées dans la lutte aux cotés des victimes.
Comme chaque année depuis 5 ans, la Marche Blanche initiée par les associations, à l’occasion de la Journée Internationale de l’élimination des violences à l’égard des femmes, (décrétée le 25 novembre 1999 par les Nations Unies), est l’occasion de rappeler que les maltraitances dont sont victimes les Réunionnaises ne tiennent pas du fait divers, mais constituent un problème de société qui doit mobiliser tout le monde. Mobiliser dans toutes ses constituantes : élus, pouvoirs publics et citoyens.
« Donn la min, lév pa lo poin ! »
Ils étaient tous représentés ce samedi. Tenues et fleurs blanches, fil mauve au poignet, le cortège rassemblant acteurs associatifs, familles de victimes, lycéens, syndicalistes, personnalités politiques pouvoirs publics, enfants... a descendu l’Avenue de la Victoire, au départ du Jardin de l’État pour rejoindre le Barachois. Cette année, le refus des violences faites aux femmes n’a pas été silencieux. « Non à la violence ! », « Donn la min, lèv pa lo poin ! », « Nou lé pa moin ! » ou encore « Nous voulons une loi cadre pour lutter contre les violences faites aux femmes » : autant de mots d’ordre entonnés par les manifestants qui à chaque assaut de voix levaient au ciel leur brin de fleurs, orchidées, roses, marguerites... autant d’armes blanches brandies pour appeler les Réunionnaises et Réunionnais à rejoindre le combat, cette lutte-ci qui refuse le sang mais prône le respect dû aux femmes. Des femmes, des jeunes filles, des mères réduites au statut de propriété, à qui l’on refuse par les coups, les injures, les humiliations, le droit de s’émanciper, de s’épanouir, de s’affirmer. Des femmes prises pour défouloirs des souffrances et frustrations que génèrent le système, la société. Des femmes qui subissent sans dénoncer de peur d’être accusées, des femmes qui dénoncent sans être entendues, à temps. Trop tard. Trop tard pour Corinne, Ingrid, Béatrice pour toutes celles qui étaient présentes samedi dans le coeur et les pensées des manifestants. Toutes celles qui ont laissé derrière elles des enfants, des parents qui, entre colère et tristesse, voudraient au moins que ces drames, ces vies brisées fassent changer les choses.
Ne pas attendre que le repos des victimes soit éternel
Une halte devant l’Hôtel de Ville, sur le fronton duquel s’étirait une banderole « Non à la violence ». Une pause, le temps d’un poème, le temps de mettre des mots sur les maux, de souligner que ces fleurs offertes après les coups se retrouvent bien souvent sur la stèle du cimetière ou la victime sera inhumée à force d’avoir espéré en vain que la violence cesse. Son repos sera celui-là, éternel. Une fois sur le front de mer, le cortège a assisté à un lâcher de ballons blancs : mémoire aux victimes disparues, espoir pour celles qui souffrent encore aujourd’hui. Toutes les fleurs ont ensuite rejoint la mer, espérant qu’elles ne reviennent pas telles des bouteilles dans les flots se fracasser sur les galets du rivage : le message de non-violence, l’appel à l’action unitaire en faveur de la lutte, n’auraient alors pas été entendus ni des citoyens, ni des autorités. La foule s’est ensuite rapidement dispersée. Un petit nombre est resté pour écouter les textes de SlamLaKour, entendre celui des enfants. Celui de Solène disait ceci : « Je ne suis qu’un enfant, mais je veux dire aux grands qu’il ne faut pas qu’ils pleurent et que les femmes n’aient plus peur. » A 15 heures 50 précises, une délégation a été reçue à la préfecture pour y déposer la motion du Collectif réunissant une soixante d’associations d’aides aux victimes.
Les violences faites aux femmes reléguées à une « sous-commission »
Les signataires y sollicitent l’intervention du Préfet pour intervenir auprès des instances locales et nationales compétentes en vue d’une mobilisation de « toutes les forces vives, toutes les compétences et toutes les bonnes volontés » autour de trois axes : la prévention, l’accueil et le soutien, l’accompagnement et le suivi (voir par ailleurs). Mais de ces 45 minutes d’entretien avec M. Jaud, Directeur adjoint du Cabinet du Préfet, nouvellement en poste, c’est surtout la disparition de la Codev qui marquera les esprits. « La Codev disparaît. C’est une régression qui s’ajoute à celle de la disparition du Secrétariat d’État aux Droits des Femmes », tempêtera Huguette Bello au sortir de la Préfecture. Choquée, profondément déçue, elle s’en retournera sans plus attendre. La Commission départementale pour l’Élimination des Violences faites aux femmes, co-gérée par le Département et la Préfecture et qui rassemblait en une même entité, les associations, les instances judiciaires, la Gendarmerie et la Police nationales est remplacée par une autre structure qui traitera des violences au sens large. Dilué, le phénomène social des violences faites aux femmes est désormais réduit à une sous-commission, comme il y aura une sous-commission des violences routières, une autre des violences sectaires, une autre des violences juvéniles (délinquance) etc. La délégation a quitté la Préfecture très atteinte par cette annonce brutale, confrontée à une décision arbitraire, en totale inadéquation avec la nécessité d’une prise en compte et en charge accrues de la problématique. Rappelons encore que 15% des Réunionnaises sont victimes de violences, contre 9% en métropole, et que plus de 37% de ces violences sont perpétrées au sein du couple. La Députée et Présidente de l’UFR Huguette Bello a raison d’affirmer que pour n’importe quelle autre communauté qui serait touchée dans de telles proportions, « l’urgence civile » serait déjà déclarée. Mais on parle là de femmes. C’est bien mal les connaître que de croire un instant qu’elles baisseront les bras. Le Collectif va continuer à travailler main dans la main, sans lever le poing, si ce n’est pas le taper sur la table. A suivre.
Motion
Le Collectif demande un renforcement des dispositifs autour de trois axes d’intervention :
La prévention, en mettant en place, en collaboration avec les services du Rectorat, de l’Etat, du Département et les associations de proximité, une grande campagne de sensibilisation, planifiée sur l’année scolaire, auprès des collégiens et des lycéens, sur la violence, l’éducation affective et sexuelle ;
L’accueil et le soutien, en organisant une formation à l’accueil et à l’écoute, de tous les acteurs de terrain, bénévoles et professionnels, afin d’optimiser les conditions de cet accueil tant pour les victimes que pour les accueillants ;
L’accompagnement et le suivi, en initiant avec les services judiciaires et médico-légaux, des groupes de soutien psychologique pour les femmes victimes, pour les enfants témoins de scènes de violence, pour les auteurs de violence, ceci afin de permettre aux victimes de se reconstruire psychologiquement et aux auteurs d’accéder àune représentation adaptée de leurs actes.
Qu’est-ce qui s’est dit à la Préfecture ?
Formation des Gardiens de la Paix
M. Jaud avait quelques mesures dans sa sacoche. Il a d’abord annoncé à la délégation que deux travailleurs sociaux seront recrutés prochainement par le Département pour être affectés à l’accueil des victimes au Commissariat Malartic. Cette décision fait suite à la visite le mois dernier de Fadela Amara dans notre département. Désormais, et c’est une très bonne chose, la formation des Gardiens de la Paix comprendra un module relatif à l’accueil et à l’enregistrement des plaintes des victimes.
Le problème de la délinquance des mineurs fait partie des situations indirectes, au même titre que les plaintes, l’accueil et le suivi des victimes, qui nécessitent une plus grande attention.
Suivi et relogement des auteurs à améliorer
Le Haut-Fonctionnaire a également accordé qu’il restait des efforts à faire pour assurer un meilleur suivi des conjoints violents et que le problème de relogement des auteurs devait également être pris en compte, sachant que le déficit de logements dans notre département est une vraie préoccupation. M. Jaud ne croit pas quant à lui à une augmentation des violences à l’égard des femmes, mais pense que cette impression est davantage due au fait qu’elles sont plus lisibles.
Une femme meurt tous les 2 jours en France oui, mais c’est toutes les 10 minutes en Afrique du Sud !
Quand Huguette Bello défend la nécessité de créer un Commissariat spécialisé dans les violences intra-familiales, le Directeur adjoint de Cabinet estime que avec 800 policiers et 750 gendarmes, La Réunion est déjà beaucoup mieux dotée que la Guyane (!). De même, quand on lui soumet la requête de voir créer en France un Secrétariat d’État aux Droits des Femmes, rappelant qu’une Française meurt tous les 2-3 jours suite à des mauvais traitements, le Haut-Fonctionnaire précise que c’est toutes les 10 minutes en Afrique du Sud. Tout en délicatesse et très appropriée comme comparaison, révélatrice de l’état d’esprit du pays dit développé dans lequel nous vivons.
Disparition de la Codev : « On va réagir ! »
On peut comprendre dès lors que Rolande Cazal, Chargée de mission pour l’AMAFAR-EPE, Geneviève Payet, présidente de l’ARIV, Laurence Wartel, présidente de l’ARAJUFA, Odette Poncet, Présidente de Femmes Solidaires et Huguette Bello, Présidente de l’UFR aient quitté la Préfecture, très troublées, la disparition de la Codev sonnant le coup de grâce. Néanmoins comme l’a souligné Geneviève Payet, le Collectif ne va pas baisser les bras. « Si on croit qu’en saucissonnant le problème, on va nous faire perdre en énergie, on se trompe. On ne va pas s’essouffler comme ça. On va réagir ! » Au-delà de la mobilisation autour de la Marche Blanche, les 60 associations réunies au sein du Collectif vont poursuivre et renforcer leur collaboration dès cette année, dès aujourd’hui.
SL
Réactions
« Pour être solidaire avec toutes celles qui souffrent aujourd’hui »
« Mélange de colère, de solidarité, de tristesse » pour la soeur de Corinne, tuée il y a 5 ans, à l’âge de 26 ans par son ex-conjoint et qui a laissé derrière elle, sa fille de 6 ans, dont sa soeur a aujourd’hui la garde. Une soeur qui chaque année participe à la Marche Blanche, en mémoire à Corinne dont elle porte la photographie, pour qu’on ne l’oublie, pas mais « aussi pour être solidaire avec toutes celles qui souffrent aujourd’hui. Il faut être là car c’est un espoir pour les autres. » Depuis 1 an et demi, Corinne se savait en danger. Elle s’est adressée à de nombreuses reprises aux forces de police et de gendarmerie, mais comme le rappelle sa soeur « elle n’a pas été beaucoup écoutée. La veille de son décès, elle a appelé pour dire qu’elle était en danger de mort. "Encore vous !" lui a-t-on répondu. » Ce qu’elle pressentait est arrivé. Son ex-conjoint a forcé la porte de son appartement et l’a assassiné. « Beaucoup ont culpabilisé. Ca a déjà été une bonne chose pour la suite », accorde sa soeur. Mais ce drame, comme beaucoup d’autres, aurait pu être évité. Corinne ne reviendra pas.
« Quand on violente une femme, on violente la société »
Virginie, éducatrice de jeunes enfants mais aussi membre de SOS Détresse, a participé à la marche avec sa fille Maya, âgée de 5 ans et demi. Une participation en tant qu’acteur qui vit la réalité de ces violences mais aussi, et il faut le rappeler, une présence en tant que citoyenne, femme de la cité, être humain qui refuse ce modèle de société. Il est important selon elle que sa fille, future femme, assiste à ce type de mobilisation contre les violences faites aux femmes. « Cela fait partie de l’éducation. Ces violences ont un impact au quotidien sur la société. Il faut lutter contre et en parler. Appendre à parler avec des mots. Apprendre ce qui ne s’apprend pas dans les familles, à l’école. Quand on violente une femme, on violente la société. » Virginie accompagne les victimes accueillies au sein des deux structures relais de SOS Détresse, soit une capacité d’accueil totale d’environ 18 familles. « Souvent, ce sont elles qui sont obligées de quitter le domicile pour se protéger, explique-t-elle. Du coup, dès qu’une femme retrouve un logement, sa place est aussitôt occupée. Il faudrait une nouvelle structure pour accueillir les hommes violents plutôt que ce soient elles qui quittent le foyer. » Il faudrait aussi développer une prise en charge psychologique adaptée des auteurs, dont on n’a pas encore suffisamment pour ne pas dire, nullement analysé les facteurs qui les conduisent à commettre de tels actes. C’est aussi pour défendre ce type d’actions que Virginie et d’autres acteurs associatifs étaient présents.
« C’est choquant, inadmissible ! »
Carol, Danielle et Aslam, 17 et 16 ans, élèves en 1ère Economique et Sociale au lycée Ambroise Vollard de Saint-Pierre ont choisi de traiter des violences conjugales dans le cadre de leur examen de Travaux Pratiques Encadrés pour le baccalauréat. Un choix qui a suscité une véritable prise de conscience de l’ampleur du phénomène à La Réunion. « On ne se rendait pas vraiment compte avant ça, explique Danielle. On savait qu’ici, les violences étaient plus importantes, mais à ce niveau pour un petit territoire comme le nôtre ! C’est choquant et inadmissible ! » Dans la poursuite des investigations que les élèves ont engagées sur le sujet, ils ont participé à la marche d’une part pour collecter des témoignages mais aussi exprimer leur engagement et leur solidarité en faveur de la lutte contre les violences faites aux femmes. « En tant que femmes, ça nous touche beaucoup », accordent les deux jeunes adolescentes. « Ca nous amène à comprendre un certain nombre de choses, par exemple qu’il faut refuser dès le départ qu’on lève la main sur nous », estime Danielle. Exigence légitime de la jeunesse, Carol souhaiterait que le phénomène soit davantage abordé dans l’espace public, qu’il y ait un véritable front collectif de lutte. « On n’en parle pas suffisamment. Il n’y a pas de dynamique à la hauteur du problème de société, affirme-t-elle. Il faut que les victimes parlent, qu’on soit là dès la première alerte pour les soutenir. » Plus réservé, Aslam acquiesce de la tête. A noter, que ces jeunes gens étaient sous le choc suite au témoignage d’une femme violentée qu’ils sont parvenus à récolter parmi les manifestants. « Une femme voilée que sa mère a entraînée de force dans la manifestation, explique Carol. Elle avait des traces de morsures au doigt et pleurait beaucoup. Ca été très dur pour nous, car on ne savait pas quoi lui dire, on n’avait pas les mots. Cette rencontre avec la douleur a été très dure. » Si la Marche Blanche peut permettre à toutes celles victimes qui continuent à subir les affronts et la violence des coups, d’oser parler, refuser, alors c’est un autre pas qui peut être franchi.
« Si la violence se banalise chez les enfants, c’est qu’elle se banalise dans les familles »
Christian Rozier, membre du SGEN-CFDT et instituteur depuis 17 ans à l’École Centrale de Saint-Denis, était lui aussi de la manifestation, aux côtés de son épouse. Son syndicat est bien sûr partie prenante du refus des violences faites aux femmes, mais l’instituteur ne reste pas insensible aux victimes que sont les enfants, exposés aux violences conjugales ou eux-mêmes victimes. « Il est nécessaire d’en parler, de multiplier les actions de ce type : la société doit prendre en compte le problème à la racine. La violence est partout, dans les écoles, dans les familles. Si elle se banalise au niveau des enfants, c’est qu’elle se banalise dans les familles », estime-t-il. « Aujourd’hui, l’école se concentre avant tout sur la maîtrise de la langue. Il faut faire parler l’enfant. Mais un enfant qui ne se sent pas bien car pas en sécurité dans son milieu familial, ne sera pas à l’aise ailleurs. Il sera alors soit en situation de repli soit d’agressivité. Dans le second cas, on dira toujours que c’est un hyperactif et lui prescrira des médicaments mais souvent le problème est ailleurs. Malheureusement, l’Éducation nationale est loin de faire ce constat. Nous on ne nous demande pas de le faire. » Bien sûr en cas d’hématomes, de traces suspectes, les enseignants engagent automatiquement des signalements mais l’école ne doit-elle pas aussi s’interroger sur ses apprentissages qui occultent bien des souffrances ?
Au nom d’Héva, d’Angela et d’Ingrid...
« C’est un appel que je lance. Un appel contre le sexisme. Un appel contre la violence. Un appel pour l’amour, pour la tendresse, pour le respect. Un appel pour que les femmes soient reconnues dans leur dignité, dans leur différence, dans leur intégrité.
Combattre l’indifférence est une priorité dans cette société qui réduit de plus en plus l’individu à un chiffre perdu dans des statistiques. Ouvrir les yeux sur la condition des femmes, c’est ouvrir les yeux sur la condition de l’humanité. Rester sourd aux appels de détresse que lancent les femmes, c’est se renier soi-même. Ne détournez pas la tête pour regarder ailleurs. Ne passez pas votre chemin en pressant le pas lorsqu’une femme crie et plie sous les coups. Ne passez pas votre chemin, sinon vous êtes complices, coupables de non-assistance à personne en danger et vous porterez ce fardeau dans votre cœur jusqu’au bout.
J’ai aujourd’hui une pensée particulière pour des femmes qui ont montré le chemin de la résistance. Héva la marronne s’impose comme le symbole de la femme qui se rebelle contre un système inhumain, l’esclavagisme. Angela Davis s’est dressée face à l’oppression subie par les Afro-américains. Ingrid Betancourt est toujours prisonnière quelque part dans la jungle.
Je veux rendre hommage à ces trois femmes et à toutes celles, anonymes, pour lesquelles la vie est un éternel combat. »
Jean-Yves Langenier, Maire du Port
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