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Lu dans le Figaro
24 novembre 2007
Un tribunal saoudien vient de doubler la peine de flagellation à laquelle avait été condamnée une jeune femme violée, qui parla de son cas à la presse.
Elle A 19 ans. Elle est mariée et issue de la minorité chiite du royaume. Sa faute ? Avoir rejoint dans une voiture un autre homme que son mari, qui devait lui rendre une vieille photo d’elle. Pour « fréquentations illégales », un tribunal la condamna en octobre 2006 à 90 coups de fouet. En Arabie, les femmes ne doivent pas s’exposer dans la rue avec un homme étranger au cercle familial. Peu importe que la malheureuse ait été violée par sept gros bras qui l’attaquèrent ce jour-là. Elle commit ensuite une autre « faute » : elle parla de son calvaire aux médias. « Une tentative d’envenimer la situation et d’influencer l’appareil judiciaire », l’accuse un nouveau jugement rendu la semaine dernière par la Cour générale de Qatif, qui aggrave la peine à 200 coups de fouet et six mois de prison.
« Une femme courageuse risque la flagellation et la prison pour avoir parlé publiquement de ses efforts pour obtenir justice », s’insurge l’organisation de défense des Droits de l’Homme, Human Rights Watch (HWR), pour qui « non seulement ce verdict transmet aux victimes de violences sexuelles un message suggérant qu’elles ne devraient pas porter plainte, mais il offre aussi protection et impunité aux auteurs de ces violences ». Quatre seulement des agresseurs de la jeune femme ont été condamnés à des peines allant de un à cinq ans de prison, et de quatre-vingts à mille coups de fouet.
« Pourquoi avez-vous quitté la maison ? Pourquoi n’avez-vous pas dit à votre mari où vous alliez ? », lui répétèrent les juges à la première audience. « Ils criaient sur moi. Ils tenaient des propos injurieux. Un juge m’a traité de menteuse parce que je ne me souvenais pas bien des dates », a indiqué la victime à HRW. Et les foudres de la justice de s’abattre également sur son avocat. Le juge de Qatif vient de lui interdire d’être présent au tribunal, avant de lui retirer sa carte professionnelle. Ainsi va la justice royale d’Arabie saoudite, premier producteur mondial de pétrole, royaume allié de l’Occident, mais où les juges ne suivent pas de règles procédurales et où la garde à vue n’existe pas. Enfin, le 3 octobre, le roi Abdallah a annoncé une réforme d’un système judiciaire archaïque, promettant de nouveaux tribunaux spécialisés et une formation pour les juges et les avocats.
Une justice archaïque
Dans le berceau du wahhabisme, version rigoriste de l’islam, la justice est, avec l’éducation, l’une des principales zones grises d’un régime qui a bien du mal à se réformer. Et ce malgré les appels du pied de ses partenaires occidentaux. À Washington, le département d’État a qualifié ce jugement d’« étonnant ». Quant à la France, dont le président, Nicolas Sarkozy, est attendu le 13 janvier à Riyad, elle tente également de faire passer des messages, mais là encore, sans grand succès. Les Saoudiens détestent en effet qu’on leur donne des leçons. Il y a quelques années, Michèle Alliot-Marie, alors Ministre de la Défense, en fit l’amère expérience, lorsqu’elle osa évoquer, devant son homologue le prince sultan, les carences du système éducatif en Arabie. L’entretien dura... sept minutes.
Georges Malbrunot
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