
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Lutte pour le logement pour tous
3 mai 2024
A Saint-Denis, on construit. Au-delà de la quantité, l’accent est mis sur la qualité. Entre logements sociaux, résidences seniors, résidences jeunes ou encore logements intermédiaires avec terrasse ou jardin, Saint-Denis a développé une vraie politique logement sur son territoire. Une politique de logement où l’humain est considéré, avec pour objectif principal d’être « bien logé ».
Avec près de 852 logements sociaux, très sociaux et intermédiaires en chantier sur Saint-Denis dont 600 qui seront livrés cette année, et plus 290 logements sociaux très sociaux et intermédiaires qui ont déjà obtenu un permis de construire, la Ville poursuit ainsi sa dynamique de construire des logements adaptés aux Réunionnais, et plus spécifiquement aux Dionysiens.
Au niveau local, le dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre démontre une situation extrêmement préoccupante. Plus de 140 000 Réunionnais sont mal-logés. À l’heure actuelle, la crise du logement impacte donc 4 Réunionnais sur 10. Pour pallier à cette situation, la mandature envisage de travailler main dans la main avec la Fondation. Une première étape a été menée afin que Saint-Denis soit considérée comme « ville tendue », mais une seconde est en cours. La capitale souhaite intégrer l’expérimentation d’encadrement des loyers.
Avec une augmentation de 31 % en 5 ans, la Réunion fait partie des départements où les loyers sont les plus élevés de la République, notamment Saint-Denis. Certains habitants dépensent même 80 % de leurs revenus pour payer leur logement. Or, sans évolution législative, il ne pourra y avoir de nette amélioration. Le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, avait signé en 2020 une lettre d’intention pour traduire une volonté politique et un accord pour lancer un large plan de rénovation et de construction de logements. L’État doit reprendre ses responsabilités face à cette situation alarmante.
Par ailleurs, la loi de Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) vise à rééquilibrer l’offre de logement social et abordable sur l’ensemble du territoire. Elle impose aux communes les plus peuplées de disposer d’une part minimale de logements sociaux au sein de leur parc résidentiel. À Saint-Denis, 38 % des logements sont sociaux, bien au-delà des 34 % imposés par le taux SRU. Elle est la première commune de l’île en termes de parc social avec plus de 30 % de logement en faveur des citoyens les moins favorisés.
Malgré ses efforts, la Ville fait partie de la deuxième région la plus concernée par le manque de logements sociaux. La mandature poursuit ainsi ses actions pour pallier les offres qui ne répondent pas au nombre de plus en plus accru de demande. Pour la municipalité engagée en faveur des plus défavorisés, la construction de logements sociaux est, au-delà d’une obligation légale, une obligation morale visant à apporter une réponse solidaire aux besoins des personnes qui ont besoin de logements abordables.
L’objectif de la fondation Abbé Pierre, est d’ici 5 ans, de tendre vers la résorption du sans-abrisme. En effet, Saint-Denis, avec Saint-Pierre, sont les deux seules communes de l’île qui disposent d’un centre d’hébergement d’urgence.
Pour faire avancer positivement, il faut travailler collectivement, pour le bien de tous. Afin de faire davantage bouger les choses, Saint-Denis souhaite travailler avec d’autres organismes pour que chaque acteur prenne ses responsabilités. Dans cet objectif, la mandature envisage de signer une convention avec la Fondation Abbé Pierre, afin de poursuivre sa lutte contre l’habitat indigne et précaire, pour mutualiser et optimiser les moyens afin d’atteindre des résultats en faveur des hommes et femmes à la rue ou en situation de mal logement.
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