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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Loyer et charges
23 janvier 2017
Voici plusieurs extraits de la dernière étude de l’INSEE donnant quelques exemples de capacité contributive des locataires.
En 2013, à La Réunion, 77 % des ménages sont éligibles à un logement social : ils peuvent prétendre à un logement social, en location ou en accession à la propriété. Seuls un quart des ménages ne relèvent pas du logement social car leurs revenus sont supérieurs aux plafonds réglementaires. Plus précisément, 60 % sont éligibles au logement locatif très social (LLTS), 69 % au logement locatif social (LLS) et 77 % au prêt locatif social (PLS).
Quasiment tous les demandeurs d’un logement social y sont éligibles : 98 %, contre 75 % d’éligibles parmi les non-demandeurs.
En 2013, 24 200 ménages ont déposé une demande de logement social dans les douze mois précédant l’enquête. Ils sont plus nombreux qu’en 2006. Toutefois, rapportés à l’ensemble des ménages, leur part diminue (7,7 % en 2013 après 8,5 % en 2006), du fait de l’augmentation plus rapide du nombre de ménages.
En 2013, à La Réunion, un locataire dépense en moyenne 661 euros par mois pour son logement. Le loyer constitue 80 % de cette dépense (532 euros). Les autres postes de dépenses de logement sont d’abord les charges avant impôts (113 euros), c’est-à-dire les charges locatives (36 euros) et les dépenses en eau et en énergie (77 euros). Enfin, la taxe d’habitation dont le montant et le paiement sont liés pour partie aux revenus fiscaux déclarés du ménage s’élève en moyenne à 16 euros par mois sur l’ensemble des locataires. Cependant, seuls la moitié d’entre eux doivent s’en acquitter pour un montant mensuel moyen de 35 euros
Dans le secteur libre, les dépenses des locataires sont 1,5 fois supérieures à celles des locataires du secteur social (781 euros en moyenne par mois, contre 521 euros). L’écart provient essentiellement du montant du loyer, sensiblement plus élevé dans le secteur libre (665 euros contre 377 euros). La taxe d’habitation réglée par les locataires du secteur libre est également plus importante (19 euros contre 13 euros). A contrario, les charges locatives sont moins élevées dans le secteur libre (24 euros contre 50 euros).
En 2013, à La Réunion, une fois déduites les aides au logement, les ménages consacrent en moyenne 16 % de leurs revenus mensuels aux dépenses de logement. Le taux d’effort des ménages diminue quand le revenu augmente. Pour les locataires du secteur libre, parmi le quart des ménages dont le revenu par UC est le plus faible, le taux d’effort net s’élève à 53 % ; il est de 19 % pour le quart des ménages les plus favorisés (4e quartile), soit 2,8 fois moins.
Pour les locataires du secteur social, le rapport est moindre (2,0). Les propriétaires accédants les moins favorisés consacrent quant à eux un tiers de leurs revenus aux dépenses de logement, contre 22 % pour les plus favorisés d’entre eux. Les aides personnelles au logement soutiennent les plus modestes. L’effet sur le taux d’effort est le plus important pour les locataires du secteur social (15 points) et plus encore pour les plus modestes d’entre eux (40 points). Pour les locataires du secteur libre, les aides au logement permettent de réduire en moyenne de 5 points le taux d’effort. Sans ces aides, les ménages locataires les plus défavorisés consacreraient la quasi-totalité de leurs revenus aux dépenses de logement. Grâce aux aides, leur taux d’effort se réduit de 44 points, mais demeure très important (53 %). Les aides au logement soutiennent également très significativement les ménages accédants les plus modestes, leur permettant de réduire leur taux d’effort de 20 points, de 53 % à 33 %.
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