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10 juin 2011, par
Hier, Thierry Robert, le maire de la commune de Saint-Leu, a donné le premier coup de pelle des travaux de la RHI (Résorption de l’habitat insalubre) de Bois de Nèfles, un acte symbolique pour la municipalité ainsi que pour la population de ce quartier.
Après des années d’études, la RHI de Bois de Nèfles devient aujourd’hui une réalité. 43 familles sont concernées par ce chantier piloté par la SIDR. La première tranche vient de débuter par des travaux de VRD (Voirie et Réseaux Divers) et d’électricité.
Pour la municipalité de Saint-Leu, c’est « un moment historique dans l’histoire de Bois de Nèfles » qui sera méconnaissable à la fin des travaux prévue d’ici 3 ans.
Dans cette commune qui a fait du logement une de ses priorités, ces travaux visent à répondre aux besoins en logements de la population et d’éradiquer l’habitat insalubre sur son territoire.
Parmi les secteurs concernés, le quartier de Bois de Nèfles a fait l’objet d’une attention toute particulière en raison de la présence de nombreuses cases en état d’insalubrité avancée.
Une opération de RHI qui est la première d’une longue lignée, puisque la commune s’est engagée dans un vaste programme de construction de logements sociaux, « pas moins de 17 opérations de logement verront le jour cette année et l’année prochaine », assure Thierry Robert. Depuis 2008, la municipalité a acquis 20 hectares de fonciers pour réaliser des opérations de RHI. Avec 6% de logements sociaux sur sa commune, le maire se fixe l’objectif d’atteindre les 20% comme le prévoit la loi.
Une opération de 101 logements
L’opération d’aménagement du quartier de Bois de Nèfles, d’une superficie de 46,8 hectares, a été divisée en trois tranches opérationnelles. Aujourd’hui débutent donc les travaux d’enterrement de réseaux et de réfection de voiries sur la partie basse puis sur la partie haute du chemin Bois de Nèfles pour un coût de 1,3 million d’euros.
Une fois ces travaux achevés d’ici la fin de l’année, 3 bâtiments de logements collectifs, “Les citronniers”, seront construits afin de loger temporairement les familles le temps de la durée des travaux sur leurs logements.
Fin 2012, les logements seront pour certains réhabilités, pour d’autres reconstruits, pour offrir à chaque famille un toit digne de ce nom.
Au total, suite à une modification du programme de logements, l’opération prévoit désormais la réalisation de 101 logements au lieu de 71 initialement : 43 LLTS, 5 LLS, 42 LES, 7 lots libres et 4 améliorations.
Le coût des travaux et d’acquisition du foncier a lui aussi fait un bond, passant d’un peu plus de 2 millions d’euros (pour 71 logements en 2003) à 5,6 millions d’euros (pour 101 logements en 2011).
A l’époque, la participation financière de l’État s’élevait à 1,5 million d’euros. Aujourd’hui, la municipalité demande à l’État « d’abonder sa participation initiale proportionnellement à l’évolution du coût de l’opération », soit une enveloppe de 3,3 millions d’euros sur un déficit total de l’opération estimé 4,2 millions d’euros.
Une demande entendue par le représentant de l’État, Damien Assadet, présent hier à Saint-Leu, mais qui est sans suite pour le moment.
Ce dernier a rappelé que depuis 2009, « le cahier des charges de RHI a été modifié de manière à cadrer le financement des opérations afin d’éviter ce genre de désagrément ».
Pour l’heure, le déficit de l’opération est supporté entièrement par la commune, qui attend un vrai coup de pouce de l’État.
SP
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