
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Rassemblement contre la baisse des droits des chômeurs, des retraités, des salariés et contre la gestion par Paris de la crise sanitaire importée
5 octobre 2021
L’intersyndicale CGTR, FO, FSU, Solidaires et SAIPER appellent à une journée d’action ce mardi 5 octobre 2021 pour les travailleurs du public et du privé. Les syndicats revendiquent le respect des droits des travailleurs privés d’emploi et sont contre la nouvelle « assurance chômage » qui va augmenter la pauvreté. Les représentants des travailleurs revendiquent aussi le droit à une retraite digne, la fin du pass sanitaire et de l’obligation de participer à une expérimentation médicale au profit de plusieurs firmes pharmaceutiques occidentales. Voici la déclaration du Bureau confédéral de la CGTR à ce sujet.
A l’heure où le pays tente de sortir de la crise sanitaire, à l’heure où la situation sociale appelle à des mesures fortes, le Président de la République et son gouvernement accélèrent leur politique libérale et annoncent de nouveaux reculs sociaux.
Depuis le premier jour de la crise, ils sont là et ils répondent présents ceux qui nous soignent, ceux qui nous transportent, ceux qui nous livrent, ceux qui nettoient nos rues, ceux qui construisent nos maisons, ceux qui accompagnent nos enfants, etc.
Aujourd’hui quelle reconnaissance pour l’ensemble des travailleurs et des travailleuses ? AUCUNE augmentation de salaires, pas de reconnaissance des pénibilités, pas d’amélioration des conditions de travail, pas d’évolution professionnelle. Pire, le gouvernement stigmatise les personnels soignants en les présentant comme hostiles à la vaccination, il suspend leur contrat de travail. Il confirme son attaque contre l’assurance chômage et envisage un nouveau recul de l’âge de départ en retraite.
Cette crise sanitaire, sans précédent, demande des réponses différentes de celles produites par ce gouvernement et l’urgence sociale appelle des mesures fortes en faveur des salariés, des chômeurs, des jeunes et des retraités. Il faut défendre notre modèle social mis en danger par Macron et son gouvernement qui au nom de la dette accélèrent la politique de casse sociale. Des milliards d’euros ont été versés au patronat, aux actionnaires et aux laboratoires. Des mesures qui favorisent encore une fois le capital et la finance des plus grosses fortunes de France qui continuent de se gaver et de profiter de la pandémie. C’est bien le grand patronat qui est aussi responsable et qui profite des richesses créées par les salariés.
Il est temps d’en finir avec ce mépris ! Il est temps de passer à l’action pour obtenir une meilleure répartition de richesses et un service publique digne de ce nom, il est temps d’en finir avec les inégalités sociales à la Réunion
Tous les motifs sont devant nos yeux pour nous mobiliser et revendiquer nos droits.
Il faut conditionner les aides publiques pour la création des emplois notamment dans les entreprises, dans les hôpitaux et dans la fonction publique
Il faut augmenter les salaires nécessaires pour vivre dignement de leur travail et relancer l’économie via la consommation des ménages. Le gouvernement va peut-être annoncer une revalorisation de 2 % du SMIC d’ici le mois octobre. Cela reste très insuffisant, le gouvernement n’a aucune volonté de revaloriser substantiellement le SMIC alors que les salariés ressentent l’augmentation des prix tous les jours et plus particulièrement sur les produits de première nécessité.
Donner les moyens pour les services publics de l’éducation, la santé, les transports, avoir un logement, l’eau, l’électricité… afin de répondre aux besoins de la population et aux défis de demain
Il faut se mobiliser aussi pour des meilleures conditions : oui baisser le temps de travail à 32 heures c’est possible, avoir le droit à la déconnexion, l’ouverture des droits à la retraite à 60 ans
Enfin la situation sociale est clairement de plus en plus difficile et nous savons tous que la lutte sera encore longue et qu’elle requiert l’implication de tous pour réussir la mobilisation du 5 octobre.
Le bureau Confédéral
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