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Semaine du Développement durable
3 avril 2008, par
Hier, le concours d’entrée à l’école de kinésithérapeutes a rappelé la situation vécue par la jeunesse : 700 candidats pour 14 places. C’est une nouvelle illustration de la pénurie d’emplois qui touche une jeunesse prête à s’investir pour le développement du pays.
Projet de la Région, l’école de kinésithérapeutes de Saint-Pierre est bien lancée. Hier, environ 700 personnes concourraient pour 14 places. La rentrée est prévue en septembre prochain.
Il est intéressant de constater également l’engouement pour cette profession. Au-delà de l’attrait pour ce métier, il est également important de noter que les études paramédicales débouchent sur l’emploi. À La Réunion, les besoins sont en effet considérables.
Mais l’enseignement principal est le nombre de postulants pour un petit nombre de reçus : 700 pour 14 places.
Cet exemple n’est pas isolé. C’est le quotidien des jeunes qui cherchent un emploi. Ils sont chaque année des milliers à terminer plusieurs années d’études. Ils ont souvent un niveau supérieur au Bac, et il ne reste pour eux que quelques places. Comment dans ces conditions ne pas ressentir un sentiment d’injustice après tant d’années de sacrifice ?
Sachant que le diplôme est censé apporter une protection contre le chômage, cela veut dire que la situation des jeunes qui sortent de l’école sans qualification est encore plus grave. Comment alors parler de développement durable dans ces conditions ?
Pourtant, les besoins en main d’œuvre sont réels à La Réunion. C’est notamment le cas dans les professions paramédicales. Constatant qu’à La Réunion, des débouchés sont là, et devant le manque de places dans les Ecoles d’infirmières, la Région, en partenariat avec l’État, a mis en place une politique de mobilité formation permettant à des jeunes de suivre cette formation en France ou en Belgique. La remise en cause par l’État de son engagement a suscité une vive réaction de la part des personnes intéressées. Ensemble, avec la Région, elles ont pu élargir le rassemblement autour de leur cause. Le rapport de force ainsi créé a permis de préserver cet outil qui est une porte vers l’emploi pour de nombreux Réunionnais.
Les plus grands défis sont devant nous. Permettre à tous les jeunes d’avoir un emploi est une condition du développement durable. Cet objectif nécessitera l’union la plus large pour défendre l’intérêt général.
Manuel Marchal
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