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Une première action a obligé le gouvernement à reculer sur les Prud’hommes, mais pas de remise en cause du fond du texte
15 mars 2016
Manuel Valls et Myriam El Khomri ont rencontré hier les partenaires sociaux. Ils ont présenté aux partenaires sociaux les modifications apportées au projet de « Loi travail ». le nouveau texte revient sur la plafonnement des indemnités pour licenciement abusif constaté par un juge. C’est une première victoire qui ne remet pas en cause le reste. La mobilisation se poursuit. L’UNEF donne rendez-vous jeudi pour une manifestation. L’Intersyndicale prépare une grande action le 31 mars, la CFDT réserve sa réponse.
Une semaine après avoir ouvert un cycle de rencontres avec les syndicats et le patronat, le gouvernement a présenté les modifications apportées au projet de « Loi travail ». Il a reculé sur la question des indemnités versées à un salarié en cas de licenciement abusif constaté par un juge. La mobilisation commence donc à porter ses fruits.
En effet, dans le document présenté hier aux partenaires sociaux, le barême est qualifié d’« indicatif ». Le plafonnement n’est donc plus imposé. Le MEDEF a fait part de sa déception, tout en maintenant son accord sur le fond si aucun autre changement n’est apporté.
La CFDT a dit sa satisfaction par la voix de son secrétaire général. Ce syndicat consultera demain ou après-demain ses instances pour décider de la marche à suivre. Mais cette prise de position confirme la fissure dans le large front syndical déjà entrevue à l’occasion de l’annonce du report de la présentation du projet de loi. Initialement prévue le 9 mars dernier, elle aura lieu le 24 mars en Conseil des ministres.
Ce premier recul est une avancée. Elle est loin d’être satisfaisante pour les autres syndicats. FO maintient sa demande de retrait du texte.
Quant à la CGT, elle estime que rien n’est « remis en cause sur le fond », selon Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, « les licenciements boursiers vont se multiplier ». Il voit dans la déclaration du Premier ministre « un effet d’annonce ». La mobilisation du 31 mars est donc « plus que jamais d’actualité ». La CGT discutera « avec les autres organisations pour pouvoir concrétiser ce rendez-vous important ». L’UNEF est sur la même ligne. Elle appelle les jeunes « à continuer la mobilisation ». « Est-ce que ce gouvernement avec ce projet de loi travail a répondu aux aspirations des jeunes ? On est profondément convaincus que non. Évidemment, on appelle les jeunes à continuer cette mobilisation », a déclaré William Martinet, président de l’UNEF.
Le 9 mars dernier, plusieurs centaines de milliers de personnes avaient déjà défilé dans les grandes villes pour s’opposer au projet de « Loi travail ». Le 31 mars sera donc une grande journée de grève et de manifestation pour demander le retrait d’un projet de loi qui est porteur d’inquiétants reculs des droits des travailleurs.
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