
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Après une rencontre avec l’État, la Région, le Département, les maires et les bailleurs sociaux
24 mai 2024, par
Après deux jours de grève et de manifestation, l’Intersyndicale du BTP a décidé de suspendre le mouvement après une rencontre avec les pouvoirs publics au siège de la CCI Réunion. Les représentants des travailleurs et du patronat, le préfet, les représentants de la Région, du Département, de bailleurs sociaux, ainsi que le président de l’association des maires ont convenu d’une rencontre le 31 mai où un nouveau point sera fait sur les appels d’offres.
140 000 Réunionnais sont victimes du mal-logement, plus de 40 000 familles sont en attente d’un logement social. Malgré tous ces besoins, le secteur du BTP est confronté à une importante chute de son activité. Elle a diminué de 30 % selon Maximin Hoarau, secrétaire général de la CGTR-BTP.
Environ un millier d’emplois ont été supprimés depuis le début de l’année. Les chantiers ne sortent plus de terre. Les victimes du mal-logement, les travailleurs du BTP et les entreprises paient les conséquences du blocage.
Une des explications avancées est la hausse des coûts des matériaux causée par la répétition des crises internationales. Les spéculateurs profitent des guerres pour faire monter les profits sur le marché des matières premières. A La Réunion, le coût de construction était déjà très élevé, 1700 euros le mètre carré pour un logement social. Il est passé à 2200 euros. Les appels d’offres sont infructueux et toute la filière de la construction est bloquée.
La hausse importante des prix des intrants a également d’importantes conséquences pour les salaires des travailleurs, car elle complique les négociations d’augmentation annuelle.
Pendant deux jours, l’Intersyndicale du BTP s’est mobilisée notamment à Saint-Denis lors d’actions devant la Préfecture de La Réunion. Cette mobilisation a débouché hier après-midi sur une rencontre entre tous les acteurs concernés. Les syndicats de travailleurs et de patrons, l’État, la Région, le Département, les communes et les bailleurs sociaux étaient autour de la table au siège de la Chambre de commerce et d’industrie.
Les parties se sont mises d’accord sur une rencontre le 31 mai prochain pour faire le point sur les appels d’offres. Suite à cette décision, l’Intersyndicale du BTP a annoncé la suspension du mouvement de grève.
M.M.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)