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Psychologie et travail
16 mars 2007
En pleine expansion, la psychologie du travail s’intéresse au perfectionnement de l’embauche, du cadre de travail, influant directement ou indirectement sur la productivité d’une entreprise. Discipline récente, la psychologie du travail tire ses origines de la période de la fin du 19ème siècle et du début du 20ème siècle, sous l’appellation de psychologie industrielle.
Comment faire évoluer son entreprise ? Peut-on insuffler une dynamique collective, collégiale, au sein d’une société ? Les psychologues du travail occupent alors un rôle de choix. Plusieurs expériences, en effet, ont démontré qu’adapter les conditions de travail des salariés contribuait à un meilleur rendement dans l’entreprise. La psychologie est au service du travail, et notamment des responsables d’une DRH, pour adapter les personnes au travail souhaité, créer un environnement de travail qui stimule le moral et la productivité, inciter à la performance, favoriser le travail d’équipe et la réussite du groupe. La psychologie du travail recherche la cohérence dans la gestion du personnel.
Alors, que fait un psychologue du travail ? Il est amené à s’occuper des recrutements, des performances, des pathologies au travail, de la gestion du personnel, du temps de travail, mais peut aussi intervenir dans l’insertion et la réinsertion professionnelle, la formation ou l’orientation. Avec lui, c’est le monde professionnel qui évolue. Il veille, entre autres, à la bonne relation entre les personnes sur leur lieu de travail, dans une logique de compromis, entre les intérêts de l’entreprise et le bien-être des salariés. Le psychologue du travail devra ainsi prendre en compte les contraintes du travail, l’impact des valeurs culturelles sur la pratique du management, s’adapter aux nouvelles situations en entreprise, et les interventions conseillées pour rendre la plus facile possible cette adaptation à une évolution.
Donner l’envie de travailler mieux
Le psychologue du travail est-il alors un acteur de la rentabilité ou un agent pour le bien-être des salariés ? Nous dirons que les deux marchent communément. La rentabilité d’une entreprise passe par une meilleure prise en compte du bien-être des salariés. Un salarié qui travaille dans des conditions exécrables aura-t-il, en effet, le même rendement qu’un salarié qui s’active dans un contexte optimal, étudié pour que son travail soit sans entraves et de qualité ? La réponse vient d’elle même. La psychologie du travail requiert davantage l’ergonomie, pour que les employés soient à leur avantage sur leur lieu de travail. Modifier l’éclairage, la température, la position des travailleurs, bref, adapter l’environnement du travailleur pour qu’il soit dans les meilleures conditions possible. Certes, cela requiert pour l’employeur une meilleure prise en compte de ses personnels, et peut-être un surcoût vite rentabilisé, selon les experts. Est-ce que cela servira vraiment à l’optimisation d’une entreprise ? Selon Christian Vandenberghe, l’engagement affectif des salariés pour leur société est le plus bénéfique. « L’engagement représente donc un processus fondamental par lequel les personnes puisent à la fois un sentiment de valeur et une capacité de contrôle », explique Estelle Morin et Luc Audebrand dans “L’engagement organisationnel et le sens du travail”. Le psychologue du travail dispose alors d’un certain nombre d’outils pour « installer confortablement » le travailleur et lui donner l’envie de travailler. Comme un acharné ? Pour certains psychologues du travail, il importe d’engager une procédure d’appropriation active d’un contexte de travail « qui ne prend son sens que dans le cadre d’une relation entre la vie au travail et la vie hors travail ». Le patron serait-il le maître incontesté même en dehors des heures de travail ?
Willy Técher
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Messages
12 avril 2007, 16:11, par Laetitia
En marge de cet article et pour bien montrer certaines conséquences des gains de productivité, ces quelques lectures ne sont pas inutiles.
- La croissance ne crée pas d’emploi
En 2004, avec une croissance de la production de 2,5 %, celle de l’emploi a été nulle (0,05 %). Dans l’industrie, pour une croissance de 1,7 % l’emploi a diminué de 3 %.
Dans les industries des biens de consommation, c’est une croissance de 18 % qui correspond à une perte d’emplois de 20 % (en 6 ans).
- Des mythes autour de l’emploi
Pour une durée constante du travail, seule une évolution de la valeur ajoutée supérieure à celle de la productivité entraîne une création nette d’emplois (nombre d’emplois créés, à durée du travail identique, supérieur à celui des emplois détruits).
L’évolution de la valeur ajoutée est égale au produit des évolutions de la productivité, de la durée du travail et de la population active occupée.
Autrement dit, l’emploi (population occupée) augmente uniquement si la production (valeur ajoutée) augmente plus vite que le produit de la productivité par la durée du travail.
- Gains de productivité du travail, durée du travail, chômage
La productivité du travail a augmenté de 17,2 % en sept ans (en France), pour toute l’activité nationale. Sans rien changer à la production de richesses du pays, le nombre d’emplois aurait pu être augmenté de 17,2 % en réduisant de 14,6 % la durée réelle du travail. En moyenne, avec des transferts d’emplois entre secteurs d’activité, le nombre d’emplois aurait augmenté de 4 280 000. Avec cela, le véritable chômage aurait beaucoup baissé.