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6 février 2008
Le pouvoir d’achat des salariés a augmenté pour les cadres, mais stagné pour les employés et même baissé pour les ouvriers.
Globalement en « hausse modérée » en 2006, le pouvoir d’achat des salariés a augmenté pour les cadres et les professions intermédiaires, mais stagné pour les employés et même baissé pour les ouvriers, selon une étude de l’Insee publiée mercredi 30 janvier.
A noter que celui-ci n’utilise pas l’expression "pouvoir d’achat" dans ledit document, la réservant au seul « pouvoir d’achat du revenu disponible brut, qui intègre les salaires mais aussi les prestations sociales notamment ».
En 2006, le salaire annuel net moyen des salariés à temps complet des entreprises du secteur privé et semi-public a crû de 2%, atteignant 1.941 euros. Mais la moitié des salariés ont touché moins de 1.555 euros nets par mois, ce qui représente le salaire « médian ».
Les prix à la consommation ayant augmenté de 1,6% sur l’année, le hausse du pouvoir d’achat des salaires moyens nets n’a été que de 0,4%.
« Cette augmentation modérée du salaire net succède à une croissance qui était plus affirmée en 2005 (+1%), mais reste néanmoins plus forte qu’entre 2003 et 2004, où les salaires nets avaient stagné », note l’Institut national de la Statistique et des Etudes économiques.
Finance, construction et transports bien lotis
Il souligne également de fortes disparités entre salariés : seul le salaire des cadres et des professions intermédiaires a progressé plus vite que le coût de la vie (+0,5% dans les deux cas, déduction faite de l’inflation).
Pour les cadres, les progressions de salaires les plus fortes ont eu lieu dans la finance et la construction ; pour les professions intermédiaires, dans les transports et la construction.
Or, cette « amélioration de la conjoncture ne profite ni aux employés, ni aux ouvriers », puisque le pouvoir d’achat des premiers a stagné et que celui des seconds a reculé en 2006 (-0,2%).
Dans ces deux catégories, « c’est dans le secteur des services opérationnels, notamment l’intérim, les activités de nettoyage et de surveillance, que les évolutions ont été les plus faibles ».
En cause : une évolution moins favorable du SMIC net, qui a « augmenté plus modérément que lors des deux années précédentes », progressant de seulement 2,4% entre 2005 et 2006, contre 3,5% entre 2004 et 2005.
L’éventail des salaires n’a, lui, pas changé. En 2006, 10% des salariés à temps complet ont gagné moins de 1.060 euros nets par mois, tandis qu’à l’autre bout de l’échelle, 10% ont perçu plus de 3.084 euros par mois.
L’écart entre hommes et femmes est resté inchangé
De même, l’écart salarial entre hommes et femmes est resté « inchangé » en 2006. Une salariée à temps complet gagnait en moyenne 18,9% de moins qu’un homme. Et, si le salaire net des femmes a crû légèrement plus que celui des hommes, ce n’est pas suffisant pour réduire l’écart.
Cela s’explique par le fait que seulement 12,7% des femmes salariées à temps complet sont cadres, contre 18,3% des hommes. Sans compter qu’elles sont plus nombreuses à temps partiel.
Au final, les hausses de salaires sont plus élevées en moyenne pour les salariés n’ayant pas changé de poste les deux dernières années. Ainsi, les salariés à temps complet ayant travaillé durant deux années entières (2005 et 2006) dans le même établissement - représentant 58% des postes à temps complet - ont vu leur pouvoir d’achat augmenter de 2,7% en moyenne.
Cette évolution est moins liée à la catégorie socioprofessionnelle ou au secteur d’activité qu’à l’âge des salariés et à leur position dans la hiérarchie salariale, selon l’Insee. C’est en effet en début de carrière que les évolutions salariales sont les plus importantes, mais aussi que les salaires sont les plus faibles.
(Sources : Challenges)
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