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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
À peine lancé, le RSA déjà remis en cause
15 septembre 2011, par
Au cours des derniers mois, l’UMP a dit publiquement sa volonté de réformer le RSA. Sachant que ce dispositif vient à peine d’être étendu dans toute la République, cette démarche montre bien que ce gouvernement n’a aucune politique sociale. Il ne sait plus où aller, et ce sont les victimes de sa politique qui en paient le prix.
En 2007, ce gouvernement avait dit vouloir faire du revenu minimum un véritable outil d’intégration. Il a donc débauché l’ancien responsable de la Fondation Abbé Pierre pour travailler à la mise en œuvre d’un nouveau dispositif, le Revenu de solidarité active, RSA.
Ce dispositif doit remplacer le RMI et l’API. Il est tout d’abord expérimenté dans plusieurs départements avant d’être inscrit dans la loi. Il est étendu à la France en juin 2009 mais l’Outre-mer est à l’écart de ce dispositif.
À la suite du mouvement social du début de l’année 2009, le gouvernement met en place le RSTA qui concerne uniquement les travailleurs ayant un salaire inférieur à 1,4 SMIC. C’est un supplément de salaire de 100 euros, au prorata de la durée du temps de travail.
C’est depuis le début de l’année que le RSA est étendu à La Réunion. Le dispositif fait donc ses premiers pas. Mais à peine né, il est la cible des errements de l’UMP.
En effet, au cours des derniers mois, trois responsables de ce parti ont annoncé qu’il sera nécessaire de changer le fonctionnement du RSA. Ils estiment que les bénéficiaires doivent travailler gratuitement, pour Laurent Wauquiez, cinq à dix heures pour une collectivité selon Jean-François Copé, ou sept heures payées au SMIC, pour Marc Daubresse. Ce dernier a remis hier un rapport à ce sujet au président de la République.
Comment expliquer que l’UMP veuille remettre en cause un dispositif qui vient à peine d’être lancé et qui concerne des millions de personnes.
Décidément, ce gouvernement ne sait plus où aller.
M.M.
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