
« I vo myé fèr anvi k’pityé. »
18 mars, parMézami, si mi di azot mi yèm kozman-la-i vo myé fèr anvi k’pityé- zot va pétète trouv sa étonan pars in moune i fé anvi sé par son fizik, par son (…)
Des délestages ne sont pas à exclure
23 novembre 2024
Depuis mardi, la centrale EDF du Port est en grève. Malgré une réunion ce vendredi 22 novembre, aucun accord n’a été trouvé. Les employés demandent un rattrapage financier, la reconnaissance de la pénibilité, une meilleure gestion des formations, des postes permanents et une réforme des astreintes.
Depuis mardi, la centrale thermique du Port d’EDF connaît un mouvement de grève. Ce vendredi 22 novembre 2024, une nouvelle réunion entre les syndicats et la direction a eu lieu, mais elle n’a pas permis de trouver un accord. Le matin, les représentants syndicaux ont parlé avec la direction, puis ils ont expliqué les propositions de cette dernière aux grévistes. Les employés ont tous décidé de continuer la grève.
Dans l’après-midi, une grande réunion des grévistes a eu lieu. Ils ont dit que les discussions avec la direction étaient arrêtées pour l’instant. Ils veulent reprendre les négociations seulement si la direction écoute mieux leurs demandes. Si cela ne change pas, les employés pensent utiliser leur "droit de retrait". Cela veut dire qu’ils pourraient arrêter de travailler pour se protéger, ce qui pourrait causer des coupures d’électricité.
Pour l’instant, la grève continue, et l’électricité pourrait être coupée dans certaines zones si la situation ne s’améliore pas.
Les grévistes réclament des mesures sur plusieurs points, indiqués dans un courrier adressé le 28 octobre par la CGT au directeur de la centrale EDF du Port :
C’est tout d’abord un rattrapage financier. La CGT dénonce la suppression de la Prime variable collective (PVC), évaluée à 800 euros par an par agent sur deux ans, due au dépassement du budget causé par des choix techniques de la direction pour financer le remplacement du charbon par du bois importé comme matière première. Cette situation impacte également la participation des salariés, estimée à 1000 euros par an par agent en 2023 et 2024.
C’est également la reconnaissance de la pénibilité. Les salariés demandent une revalorisation des indemnités liées à la pénibilité des tâches depuis la conversion de la centrale au biocombustible. Ils revendiquent une augmentation de certaines primes spécifiques pour compenser ces conditions de travail.
Une meilleure gestion des formations est une autre revendication. La suppression des formations imposées après une nuit de quart pour les agents du service conduite est exigée.
La création de postes permanents est demandée. Le syndicat réclame deux postes supplémentaires pour des tâches actuellement réalisées par des intérimaires, ce qu’il juge inacceptable pour la sécurité et l’environnement.
Enfin, au sujet de l’organisation des astreintes, c’est la mise en place d’une note interne sur l’astreinte, proposée par la CGT, afin d’améliorer les conditions de travail.
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