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Marie Patricia Payet Victorien
24 janvier 2007
Marie Patricia Payet Victorien, mère de famille de 4 enfants, a besoin de vous aujourd’hui. Sa vie a empli les colonnes des journaux. Elle a été effroyable ! Depuis dimanche dernier, elle peut dormir sur “ses deux oreilles” dans sa maison de la Plaine des Cafres. Enfin presque ! Le soleil couché, elle reste vigilante. Attentive aux bruits extérieurs car elle est encore habitée par la peur.
Elle ne peut tirer un trait sur la dizaine d’années passées où elle a été humiliée et cognée sans cesse devant ses enfants. De la dernière dispute éclatée le 12 janvier, elle garde un mal de tête persistant. La conséquence d’un coup de chaise porté par son mari à cet endroit. Un peu avant, il a tenté de lui couper la tête avec un hachoir qu’elle a pu esquiver.
Même si elle est encore sous le choc, elle est décidée à aller jusqu’au bout de toutes ces démarches. Elle les commence sur une fausse note. En se rendant à sa banque hier matin pour un retrait d’argent, elle constate que le compte conjoint a été vidé. Elle se retrouve sans ressource. Elle va informer une assistante sociale de ce qui lui arrive. Elle en a maintenant l’habitude.
Plus d’argent
Sans le moindre euro, il lui reste malgré tout des vivres jusqu’à la semaine prochaine. Période à laquelle 3 de ses enfants retourneront à l’école. Peut-être recevra-t-elle de l’aide alimentaire de la Mairie du Tampon ? Peut-être pas car le traitement d’une telle demande peut prendre un certains temps suivant les situations. Elle appelle donc à la générosité des Réunionnais pour l’aider à passer ce mauvais moment. Certes les allocations, elle les percevra bientôt. Ces prestations seront-elles suffisantes pour joindre les deux bouts ?
Surtout que pendant les mois à venir, les démarches qu’elle entreprendra seront multiples : demande de divorce, renouvellement de sa carte de séjour (elle est Mauricienne) de nationalité française, pour la garde de ses enfants. Sans compter la paperasse pour l’acquisition de la location-vente de sa maison.
J.-F. N.
Les facettes des violences faites aux femmes
Elles sont nombreuses et toutes ont des conséquences graves sur le bien être de la femme. Elles sont physiques, psychologiques, verbales, émotionnelles, sexuelles et économiques. Son intégrité physique est atteinte si elle est giflée, s’il lui est donné des coups de poings, des coups de pieds ou si elle subit des sévices ou est étranglée. Le conjoint utilise parfois des objets lors des agressions : les brûlures de cigarette, les coups donnés avec une ceinture, l’usage ou la menace d’une arme (couteau, hachoir, sabre etc...)
Gifle, sévices, strangulation
La violence conjugale passe aussi par le dénigrement, l’humiliation ou la dégradation. La femme est considérée comme “une moins que rien”. L’homme est alors jaloux, profère des menaces, contrôle les activités de sa femme. Il tente de l’isoler de ses proches, de ses amis. Il existe des cas de séquestration.
Il arrive bien souvent que la femme ait à subir, sans consentement ou sous la contrainte, des rapports sexuels. Ceux-ci peuvent être accompagnés de brutalités physiques, d’insultes, de mises en scène pornographiques humiliantes, voire même de viols collectifs.
La violence, et on l’observe de plus en plus, est devenue économique. La femme est privée de ses moyens ou biens essentiels même si elle exerce une activité rémunérée.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’à La Réunion, des associations informent les femmes sur le point suivant : « Un homme contraignant une femme non consentante à avoir des relations sexuelles avec lui commet un viol, s’il y a pénétration (pénalement, il s’agit d’un crime), une agression sexuelle, s’il n’y a pas pénétration (pénalement, il s’agit d’un délit), même si deux personnes sont mariées ».
(Source www.sosfemmes.com)
J.-F. N.
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