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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Danger immédiat pour l’économie informelle, affirme l’OIT
30 avril 2020
Les dernières données de l’OIT sur l’impact de la pandémie COVID-19 sur le marché du travail révèlent ses effets dévastateurs sur les travailleurs de l’économie informelle et sur des centaines de millions d’entreprises dans le monde.
La poursuite de la baisse significative du nombre d’heures travaillées dans le monde en raison du COVID-19 a pour conséquence que 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle – soit près de la moitié de la main-d’œuvre mondiale – doivent désormais faire face au danger immédiat de voir leurs moyens de subsistance anéantis, avertit l’Organisation internationale du Travail (OIT).
En raison de la crise économique créée par la pandémie, près de 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle (représentant les plus vulnérables sur le marché du travail) ont subi une réduction sévère de leurs capacités à gagner leur vie, sur un total mondial de 2 milliards et une main-d’œuvre mondiale de 3,3 milliards. Il s’agit d’une conséquence des mesures de confinement et/ou en raison du fait qu’ils travaillent dans les secteurs les plus touchés.
On estime que le premier mois de la crise a entraîné une baisse de 60 pour cent du revenu des travailleurs informels dans le monde. Cela se traduit par une chute de 81 pour cent en Afrique et dans les Amériques, 21,6 pour cent en Asie et Pacifique et 70 pour cent en Europe et en Asie centrale.
Sans sources de revenus alternatives, ces travailleurs et leurs familles n’auront plus de moyens de subsistance.
L’OIT appelle à des mesures urgentes, ciblées et souples afin de soutenir les travailleurs et les entreprises, notamment les petites entreprises, ceux qui exercent leur activité dans l’économie informelle ainsi que les autres personnes vulnérables.
Ces mesures de relance économique doivent être génératrices d’emplois, soutenues par des politiques et des institutions du travail plus robustes, et des systèmes de protection sociale mieux financés et plus complets. Une coordination internationale au niveau des mesures de relance et d’allégement de la dette est également essentielle pour rendre la reprise économique optimale et durable. Les normes internationales du travail, qui bénéficient déjà d’un consentement tripartite, peuvent servir de cadre.
« Au fur et à mesure de l’évolution de la pandémie et de la crise de l’emploi, le besoin de protéger les plus vulnérables devient de plus en plus pressant », affirme Guy Ryder, Directeur général de l’OIT. « Pour des millions de travailleurs, l’absence de revenus signifie plus rien à manger, et l’absence totale de sécurité et d’avenir. Des millions d’entreprises à travers le monde ont du mal à tenir la tête hors de l’eau. Elles n’ont pas d’épargne ou pas d’accès au crédit. Voilà pourtant le vrai visage du monde du travail. Si nous ne leur venons pas en aide dès à présent, elles vont disparaître, tout simplement. »
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