
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Protéger la santé et les droits des travailleurs : appel aux gouvernements
19 mars 2020
Dans un communiqué en date du 15 mars, la Fédération syndicale mondiale appelle les gouvernements « à prendre immédiatement toutes les mesures nécessaires pour assurer la vie et la santé des travailleurs, ainsi que la protection de leurs droits du travail » : « les travailleurs ne doivent pas payer les conséquences de l’épidémie de coronavirus sur l’économie mondiale, avec des licenciements dans des secteurs comme le tourisme, le travail à domicile ou des horaires de travail encore plus flexibles. »
« La Fédération Syndicale Mondiale, au nom de ses 100 millions de membres dans le monde entier, exprime son soutien aux travailleurs de tout le monde, qui sont confrontés à des conséquences sur leur santé et risques contre leurs droits du travail, à cause de l’épidémie de coronavirus qui maintenant enregistre un grand nombre de cas et de décès.
Nous exhortons les gouvernements à prendre immédiatement toutes les mesures nécessaires pour assurer la vie et la santé des travailleurs, ainsi que la protection de leurs droits du travail.
Notre grande famille syndicale de classe souligne la contribution héroïque des travailleurs et scientifiques de la santé, dans les hôpitaux et autres services, qui s’efforcent de protéger la vie des travailleurs et de tout le monde, dans des conditions épuisantes et dans des systèmes de santé pauvres et inadéquats.
Nous constatons les très grandes lacunes dans les systèmes de santé en raison des politiques de sous-financement et de commercialisation par les États, qui ne considèrent pas les soins de santé et la prévention comme un droit universel mais comme une marchandise générant des profits immenses pour les industries de la santé et les industries pharmaceutiques. Les structures de santé misérables et même inexistantes dans des pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine exposent les travailleurs à une grave menace à cause de la pandémie.
Les travailleurs ne doivent pas payer les conséquences de l’épidémie de coronavirus sur l’économie mondiale, avec des licenciements dans des secteurs comme le tourisme, le travail à domicile ou des horaires de travail encore plus flexibles.
Nous demandons :
1. Embauche des docteurs et infirmiers permanents ainsi que la création de nouvelles structures de santé publiques.
2. Tous les services publics doivent être entièrement équipés du matériel de désinfection et protection, fourni gratuitement par l’État à la population.
3. Des jours de congé supplémentaires avec pleine rémunération et assurance doivent être garantis aux :
◦ Travailleurs malades.
◦ Travailleurs obligés de s’abstenir de leur travail à cause de mesures préventives d’urgence.
◦ Ceux qui doivent s’occuper d’un enfant malade ou d’un membre âgé de leur famille.
◦ Ceux qui doivent rester avec leurs enfants à la maison, en raison de la fermeture préventive des écoles et des crèches.
4. Mesures de protection substantielles et adéquates dans tous les lieux de travail.
5. La spéculation des multinationales et des monopoles contre les couches populaires doit être écrasée.
Dans l’ère du développement et du progrès technologique rapide, il y a toutes les possibilités scientifiques et productives de faire face efficacement aux épidémies et de protéger les peuples. Au lieu de cela, les travailleurs et les couches populaires souffrent des conséquences du système capitaliste sauvage et sont exposés à des risques contre leur propre vie et la survie de leurs familles.
Nous exigeons que tous les États, gouvernements et Organisations Internationales prennent sans délai des mesures complètes et substantielles pour la prévention contre l’épidémie et la protection de la santé et de la vie des travailleurs et des peuples, ainsi que pour la protection de leurs droits du travail contre l’effet des mesures qui sont annoncées. »
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19 mars 2020, 15:12, par Maillot Joseph Luçay
D’accord ,aucun travailleur ne doit perdre son emploi à cause du coronavirus mais cette logique doit s’appliquer également à la politique .
Beaucoup d’électeurs ne sont pas allés voter au premier tour de l’élection municipale du 15 mars 2020 à cause du coronavirus . La France a enregistré ce jour là son taux de participation le plus faible aux élections municipales . Seulement 40% des électeurs sont allés voter et une grande partie des conseils municipaux de France n’ont pas été remplacés .
Le président a décidé d’interrompre les opérations électorales et de reporter à une date ultérieure les opérations du deuxième tour .Or cette décision pourrait priver les électeurs qui ont eu peur du coronavirus de la possibilité de voter pour un des candidats de leurs choix si le deuxième tour est basé sur les résultats du premier tour .
Pour que le coronavirus n’influe pas sur le résultat des élections il faut recommencer toutes les opérations électorales en respectant les dispositions législatives qui prévoient deux tours qui se suivent en l’espace d’une semaine . L’ arrêt des opérations électorales qui étaient prévues le 22 mars 2020 rend caduques les opérations électorales du 15 mars lorsque celles ci n’ont pas permis d’élire le conseil municipal . Si non on aboutit à une élection en deux tours avec un délai bien supérieur à 8 jours entre les deux tours ce qui n’est pas conforme aux dispositions de l’article L 56 du code électoral qui prévoit que le deuxième tour doit être organisé le dimanche suivant .
Personne ne peut contester la volonté du président de la république d’arrêter les opérations électorales pour protéger les français contre l’épidémie de coronavirus .mais il ne faudrait pas que cette volonté vienne rompre l’égalité des citoyens devant la loi en allongeant de plusieurs mois la campagne électorale pour certains candidats .Le délai entre les deux tours est fixé à une semaine ; si on ne peut pas le respecter pour une cause de force majeure telle que l’épidémie de coronavirus , il faut recommencer les deux tours de l’élections et pas seulement le deuxième tour. Tous ceux qui ont eu peur du coronavirus le 15 mars 2020 doivent avoir la possibilité de voter sereinement pour le candidat de leurs choix qui n’est pas forcément l’un des candidats qui sont arrivés en tête le 15 mars 2020.
Aucun travailleur ne doit perdre son emploi a cause du coronavirus. Aucun électeur ne doit perdre le droit de voter pour le candidat de son choix à cause du coronavirus .
Pour respecter ce principe il faut organiser de nouvelles élections municipales à deux tours pour les communes qui n’ont pas pu élire leurs conseillers municipaux le 15 mars en raison de la panique crée par l’épidémie de coronavirus .
Mais en nous imposant l’organisation d’un second tour des élections à plusieurs mois du premier tour sur la base des résultats de ce premier tour notre président ne respecte pas le code électoral et s’octroie un droit qui ne lui est pas reconnu par notre constitution puisque la l’organisation des élections et la durée du mandat des élus relèvent du domaine de la loi selon l’article 34 de la constitution de notre pays ..
Les cas de force majeure donnent au président certains droit mais pas de violer la constitution elle même . Les conditions des élections et la durée des mandats doivent être les mêmes pour tous les citoyens et seuls les parlementaires ont le droit de les modifier mais en veillant toujours au respect du principe de l’égalité des citoyens devant la loi .