
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Conséquence de l’épidémie de coronavirus sur les revenus des travailleurs
24 septembre 2020
Une nouvelle analyse de l’OIT sur l’impact de la COVID-19 sur le marché du travail révèle une baisse « massive » des revenus du travail et des « fossés » en matière de relance budgétaire qui menacent d’accroître l’inégalité entre les pays riches et les pays pauvres.
Les pertes à l’effet dévastateur dans les heures travaillées qui ont été causées par la pandémie de COVID-19 ont engendré une chute « imposante » des revenus du travail pour les travailleurs du monde entier, affirme l’Organisation internationale du Travail (OIT) dans son dernier état des lieux des effets de la pandémie sur le monde du travail.
Selon son estimation, le montant total des revenus du travail a baissé de 10,7 pour cent, soit 3 500 milliards de dollars des États-Unis, pendant les trois premiers trimestres de 2020, en comparaison avec la même période en 2019. Ce chiffre ne tient pas compte des mesures de soutien aux revenus mises en place par les gouvernements.
La chute la plus importante concerne les pays à revenu intermédiaire inférieur, dans lesquels les pertes en revenus du travail ont atteint 15,1 pour cent, la région du monde la plus touchée étant les Amériques, avec 12,1 pour cent.
L’Observatoire de l’OIT : La COVID-19 et le monde du travail. Sixième édition indique que les pertes globales en heures travaillées pendant les neuf premiers mois de l’année 2020 ont été « considérablement plus importantes » qu’estimées dans l’édition précédente de l’Observatoire (publiée le 30 juin).
Par exemple, l’estimation révisée des heures de travail perdues au deuxième trimestre de cette année (en comparaison au quatrième trimestre 2019) s’élève à 17,3 pour cent, ce qui équivaut à 495 millions d’emplois directs à temps plein (ETP) (en se basant sur une semaine de travail de 48 heures), alors que la dernière estimation était de 14 pour cent, soit 400 millions d’emplois ETP. Au troisième trimestre 2020, on s’attend à des pertes en heures travaillées de 12,1 pour cent (345 millions d’emplois ETP).
Les perspectives pour le quatrième trimestre ont connu une dégradation significative depuis la parution de la dernière édition de l’Observatoire . Si l’on suit le scénario de référence de l’OIT, les pertes globales en heures travaillées devraient désormais s’élever à 8,6 pour cent au quatrième trimestre de 2020 (en comparaison au quatrième trimestre de 2019), ce qui correspond à 245 millions d’emplois ETP. Cela représente une augmentation par rapport à l’estimation précédente de l’OIT qui était de 4,9 pour cent, soit 140 millions d’emplois ETP.
Selon l’Observatoire, l’une des raisons qui explique ces augmentations estimées des pertes en heures travaillées réside dans le fait que, dans les pays en développement et dans les pays émergents, les travailleurs ont été beaucoup plus touchés que par les crises précédentes, notamment les personnes évoluant dans l’économie informelle.
Les auteurs soulignent également que la baisse de l’emploi doit être attribuée de manière plus importante à l’inactivité plutôt qu’au chômage, ce qui entraîne de nombreuses conséquences sur le plan des politiques à mettre en œuvre.
Alors que les mesures les plus sévères en matière de fermeture des lieux de travail ont été adoucies, il existe des différences importantes entre les régions. Ainsi, 94 pour cent des travailleurs vivent toujours dans des pays soumis à des restrictions dans l’ouverture des lieux de travail sous une forme ou sous une autre, alors que 32 pour cent se trouvent dans des pays où tous les lieux de travail sont fermés sauf ceux considérés comme essentiels.
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