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20 mai 2008
Hier, une dizaine de palangriers ont bloqué le passage du port-Est, empêchant les navires d’entrer et de sortir pendant 30 minutes. Ils attendent depuis 6 mois une aide financière du gouvernement, destinée à compenser l’envolée des cours du gazole. Cette démonstration de force est une action symbolique pour protester contre la politique du Président Sarkozy qui, selon eux, « ne tient pas ses promesses ».
Les pêcheurs palangriers de l’île ont exprimé leur colère hier contre l’immobilisme du gouvernement face à l’augmentation du prix du gazole détaxé. Cela fait 6 mois qu’on leur promet une aide financière destinée à compenser l’envolée du cours du pétrole et ils n’ont toujours rien obtenu. En 4 ans, le prix du gazole est en effet passé de 27 à 75 centimes, soit une hausse de plus de 150%. Et si le coût du carburant détaxé, représentant la plus grosse part des charges pour les pêcheurs, a fortement augmenté, le prix de vente du poisson, quant à lui, est resté au même niveau. « Il faut faire quelque chose pour essayer de nous faire entendre, sinon on n’obtiendra rien, déclare Guillaume, un jeune marin pêcheur. C’est une mise en garde, le début d’une série d’actions si rien ne se produit en retour ». Les pêcheurs attendent de manière urgente ce que le gouvernement leur a promis voici 6 mois, à savoir un gazole détaxé à 30 centimes.
Après leur démonstration de force au Port, les marins en colère se sont dirigés, à bord de leurs navires, en direction du Barachois dans le but de faire remonter leurs revendications jusqu’au chef-lieu. Une petite délégation de grévistes a été reçue à la Préfecture en début d’après-midi. Outre un gazole trop cher, les marins dénoncent une répartition inégale des enveloppes d’aides entre les DOM. Pour eux, la dotation de 1,2 million d’euros allouée à La Réunion s’avère insuffisante.
Considérant qu’ils se trouvent actuellement dans une situation de crise, ils réclament un plan d’urgence. Les pêcheurs grévistes fondent désormais tous leurs espoirs dans la réunion nationale prévue demain, mercredi, avec les pouvoirs publics. Ils brandissent d’ores et déjà de nouvelles menaces de blocage en l’absence de mesures concrètes et immédiates.
Texte et photos
Imaz Press Réunion
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