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17 novembre 2007
20 novembre, Journée unitaire de mobilisation. L’ensemble des organisations syndicales appelle à l’action, à la grève, pour dire non à l’attaque frontale du gouvernement contre la Fonction publique.
« C’est une première », signale Jean-Marc Gamarus (CGTR). « C’est la première fois que l’ensemble des syndicats appelle à une journée d’actions unitaires », déclarait-il. CGTR, CFDT, FO, FSU, l’UNSA, Solidaires et CFTC prendront la rue de Paris le 20 novembre à partir du Jardin de l’Etat. Le rendez-vous est fixé à 9 heures. Cet appel partage les mêmes revendications nationales, et concerne fonctionnaires de la Fonction publique hospitalière, d’Etat, territoriale mais aussi, et surtout, des travailleurs du secteur privé. Le refus de voir régresser le service public, tous secteurs confondus, tel est le mot d’ordre. L’Etat veut se décharger de ses responsabilités envers ses administrés. La rue parlera-t-elle ? Depuis un certain temps maintenant, on s’étonnait de l’essoufflement de la revendication syndicale. Les manifestations n’étaient pas soutenues. A chaque fois, une poignée de manifestants. Ce sera peut-être différent ce 20 novembre, puisque tous les syndicats s’alignent sur un constat : l’Etat affirme sa volonté de liquider les services publics.
Pour un service public de qualité et de proximité
Le mouvement s’inscrit dans le cadre de la défense des usagers français, et donc réunionnais. Plusieurs fois, les médias nationaux ont relégué la colère des usagers, pris en otages. « Notre action n’est pas une action égoïste pour défendre des intérêts corporatifs, mais nous voulons vraiment défendre le service public », assure Jean-Marc Gamarus. Et de poursuivre : « diminuer les moyens du service public, c’est accroître les inégalités ». C’est la raison pour laquelle toutes les organisations syndicales exigent un service public de qualité et de proximité, la création d’emplois stables pour tous les personnels, la mise en place d’un plan de rattrapage des retards structurels dans les Fonctions publiques, et notamment à La Réunion. Par ailleurs, les revendications sont abondées par des doléances fort justifiées, à savoir la résorption de la précarité et le maintien du pouvoir d’achat. Le syndicaliste met en garde chaque Réunionnais contre les propos ouatés du gouvernement, et du Président de la République lui-même. « Moins d’Etat, plus de privatisation », le message est clair.
Rendez-vous est donc pris avec les médias, comme avec la population réunionnaise. L’intersyndicale exige de l’Etat de revenir sur sa copie déjà tout écrite, et encore particulièrement pour la question des transferts des personnels TOS. L’Etat se désengage, alors que des charges nouvelles pèsent sur les collectivités locales. Le 20 novembre, outre le fait qu’une délégation risque - comme d’habitude - d’être reçue par l’autorité préfectorale, on s’attend, nous, à de vraies solutions, pour une Fonction publique à l’écoute des usagers, disponible, rapide...
Willy Técher
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