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10 novembre 2012, par
Pourtant, tout avait bien commencé entre Emmanuelle et son compagnon. Heureuse rencontre ! Beau mariage ! C’est justement après ce sacrement que tout a basculé.
« Je ne le reconnaissais plus », dit-elle. Il est devenu du jour au lendemain « possessif, agressif, autoritaire ». Et surtout « très jaloux ». Elle pensait que ce changement n’était que passager. Eh bien, non !
Au lieu d’une vie de couple épanouie, « j’ai vécu l’enfer ». En effet, lorsque le concubin s’affiche en public, il est « souriant, serviable ». En privé, il « me brutalisait, rabaissait, méprisait ». Il s’agit de violences psychologiques.
Brutalité sur brutalité
Elle se souvient : « J’ai eu droit », pour « un verre brisé à une scène de cris interminables. Avec un mal de tête, je me suis couchée… » ; « un SMS reçu d’un ami à un interrogatoire » ; « un bonjour à un ami à une claque ». Il s’agit maintenant de violences physiques.
Avec un œil bleu, elle s’est rendue une fois au travail. Les collègues, choqués de la voir ainsi, lui ont demandé ce qui lui était arrivé. Elle leur a répondu : « j’ai chuté dans les escaliers ». Elle a aussitôt compris que personne ne la croyait.
Sous contrôle
Une collègue lui confiera peu de temps après qu’elle a connu pareille situation. Elle aussi a justifié avec la même raison un coup porté par son petit ami. C’est elle qui la soutiendra.
Toutes sorties vont être sous le contrôle de son mari. Il faillait qu’elle parte de telle heure de chez elle et qu’elle soit revenue à telle heure ; marche la tête baissée. Finies les retrouvailles ou les soirées entre collègues. Plusieurs fois, elle l’a aperçu à la surveiller dans le parking qui jouxte l’entreprise où elle bosse. « Sûrement, il pensait que j’avais un amant », confie-t-elle.
Le soutien d’une collègue
« Il m’a rouée de coups maintes et maintes fois ». Elle n’osait ni aller chez le médecin, ni porter plainte, ni en parler. Inquiète de ses absences répétées, sa collègue de bureau a décidé de monter au créneau. Elle lui a proposé de l’héberger chez elle. Emmanuelle a hésité et fini par dire oui.
Avec le minimum, elle est partie. Sur son répondeur GSM, des messages de menaces à n’en plus en finir. Elle les a conservés. Il est venu aussi la menacer là où elle opère. Les collègues se sont interposés, l’entreprise a déposé une plainte. Elle aussi, du coup, a fait de même avec pour preuves des certificats médicaux qu’elle avait conservés.
Se reconstruire
La famille est intervenue pour raisonner le mari. Cependant, il était hors de question pour Emmanuelle de retourner vivre auprès de lui. A son patron, elle a expliqué sa situation, il l’a transférée dans l’une de ses agences.
Aujourd’hui, Emmanuelle se reconstruit. Elle reprend une vie paisible. Elle a renoué avec sa famille et ami(e)s, repris le sport et ses études. L’accompagnement d’une psychologue lui est bénéfique. Elle a retrouvé la confiance en elle. C’est l’essentiel !
JFN
Observateur de la vie réunionnaise
Lutte contre les violences faites aux femmes Partenariat entre le Rwanda et le Vietnam Une délégation comprenant six officiels vietnamiens séjourne au Rwanda pour un voyage d’études destiné à tirer des leçons de l’expérience de ce pays en matière de lutte contre les violences faites aux femmes. Au cours d’une visite sur le site du projet "Isange Stop Centre", qui est une infrastructure basée dans la banlieue de Kigali et gérée par la Police rwandaise, la délégation vietnamienne, sous la conduite du ministre adjoint chargé du Travail et des Affaires sociales de ce pays, a salué les progrès accomplis par le Rwanda dans ce domaine et a souhaité que le Vietnam puisse tirer des leçons de cette expérience. On rappelle que le centre "Isange" a été mis en place par la Police rwandaise et ses partenaires dans le but de prévenir les violences faites aux femmes, à travers la prise en charge médicale en faveur des victimes de ce phénomène. Parmi les exemples cités comme entre autres stratégies adoptées par le Rwanda pour réaliser ces progrès, il y a notamment l’institutionnalisation de la Police communautaire où les instances de sécurité rwandaises travaillent étroitement avec la population locale pour veiller à la sécurité des personnes et des biens. « Avec la mise en place de cette structure, la Police rwandaise dispose désormais de moyens pour mener une intervention rapide en faveur des victimes de la violence », a expliqué à la délégation l’inspecteur adjoint de la Police rwandaise, Stanley Nsabimana. |
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