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Les gérants obtiennent satisfaction
7 février 2014
Les gérants de stations-service ont officiellement annoncé la fin de leur grève, jeudi 6 février, après avoir obtenu les garanties qu’ils attendaient des pétroliers. La situation en Guadeloupe et en Martinique aura été aussi tendue qu’à La Réunion.
Les gérants de stations-service étaient en réunion mercredi 5 février avec les pétroliers, afin de trouver un terrain d’entente. Après la discussion, les compagnies auraient donné l’assurance qu’ils ne remettraient pas en cause le volet social et les contrats de gérance. Ces derniers se seraient également engagés à rédiger un courrier en ce sens.
La tension aura été extrême, alors que le ministre des Outremers, Victorin Lurel, avait espéré publié les arrêtés de méthode sur le décret fixant les prix des carburants, mercredi. Ces arrêtés de méthode permettent l’application du décret du 27 décembre 2013, destiné à faire la transparence sur les marges des pétroliers, permettant ainsi de baisser le prix des carburants dans les Outremers.
Face à cette décision ministérielle, les gérants de stations-service avaient émis des doutes quand à la possibilité pour les pétroliers de récupérer leur marge à leurs dépens. Ces derniers avaient alors déclenché un mouvement de grève à La Réunion ainsi qu’en Martinique et en Guadeloupe, afin de préserver le modèle de service dans les Outremers et ainsi préserver les emplois (1.500 à La Réunion). L’ensemble des stations-service de ces trois départements ont été fermé, seules les stations réquisitionnées par les préfectures respectives ont fonctionné.
A La Réunion, les échanges entre le préfet, Jean-Luc Marx et les représentants des stations-services ont abouti à la levée de la grève, dimanche 2 février. En Guadeloupe et Martinique, les tractations entre les pétroliers et les gérants ont abouti à une levée, jeudi 6 février. Selon France Antilles, les gérants veulent une « stabilisation de la filière ». Pour le journal, « personne n’est épargné par cette grève. Cela nous rappelle combien nous sommes vulnérables et tributaires des pompes à essence ».
Le ministre n’y aura pas été avec le dos de la cuillère sur cette affaire. Sur les ondes de Radio Guadeloupe 1re, lundi 3 février, il a évoqué une « histoire de gros sous ». Selon Victorin Lurel, « la fermeture des stations-service par leurs gérants depuis jeudi dernier s’explique par les Accords interprofessionnels pétroliers (AIP), qui sont des indemnités de fin de contrat ».
Les AIP existent en France, mais « ce ne sont pas les consommateurs qui payent » a expliqué le ministre, confirmant le chiffre de 0,06 centime par litre. Ce dernier a indiqué : « ça a pris fin en avril et je l’ai supprimé parce qu’il y avait une base légale tout à fait discutable (...) permettant à n’importe quel consommateur de porter plainte ». Les AIP avait été discuté en juin 2013, lorsque les discussions avec les gérants ont débuté sur le décret Lurel. Ces accords n’ont jamais existé pour les Réunionnais.
Les gérants antillais ont également refusé la remise en cause de leur « prime de retraite ». Bien que d’autres accords ont été préparés par le gouvernement, les gérants n’ont pas souhaité étendre la convention nationale des AIP. Il s’agit d’accord signé en 2002 en Guadeloupe, et 2008 en Guyane et Martinique, qui prévoit d’abonder de 0,64 centime en Guyane, 0,68 en Martinique et Guadeloupe, un fond pendant dix ans. Ce fond permet de financer une indemnité de fin de gérance dont le montant est proportionnel à l’ancienneté du gérant et au volume vendu dans la station. Pour le moment, la grève a pris fin, les usagers peuvent désormais se déplacer.
SaiLin
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