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Ouverture du FSM 2015 à Tunis
25 mars 2015, par
Ce mardi 24 mars, les organisateurs du FSM 2015 de Tunis ont lancé une marche internationale de solidarité avec la Tunisie, frappée par un attentat le 18 mars au Musée du Bardo, avec comme mot d’ordre : « Les peuples du monde unis contre le terrorisme ».
Rituelle à chaque ouverture d’un forum social mondial, cette marche possède une symbolique toute particulière. 121 pays ont tenu à apporter leur soutien au peuple tunisien et aux peuples victimes du terrorisme.
Dans un communiqué, les organisateurs avaient assuré que « plus que jamais, la large participation au FSM sera la réponse appropriée de toutes les forces de paix et de démocratie qui militent au sein du mouvement altermondialiste pour un monde meilleur, de justice, de liberté et de coexistence pacifique ».
D’ailleurs, le comité d’organisation du FSM a dénoncé le « climat de peur » qui s’est installé depuis que cette attaque a créé « au sein des citoyens qui aspirent à la liberté, la démocratie et à la participation pacifique à la construction démocratique ».
D’ailleurs, le forum de mars 2013 à Tunis s’était déroulé, quelques semaines après l’assassinat de l’homme politique de la gauche tunisienne Chokri Belaïd. Pour la seconde fois, le pays fait face à des évènements tragiques, cependant pour les organisateurs la présence du monde est « un message de solidarité internationale. Nous allons montrer que la société civile pourra toujours faire contrepoids au terrorisme ». « La Tunisie n’est pas finie, elle peut continuer son processus démocratique », a indiqué Alaa Talbi, un des coordinateurs.
À l’issue de ce Forum, le comité d’organisation a prévu de rédiger une charte altermondialiste de lutte contre le terrorisme, afin de trouver une alternative aux mesures sécuritaires face à ce phénomène.
Quatorze ans après le premier Forum Social Mondial de Porto Alegre au Brésil, le courant de altermondialiste a été découvert par la communauté internationale à travers sa contestation vis-à-vis de la globalisation, du système néolibéral, de l’impérialisme, du racisme et des discriminations culturelles, cultuelles, économiques et sociales.
Alors que le mouvement est au-devant de la scène, la question « Un autre monde est-il possible ? » reste entière. A Gabès, ville à l’est de la Tunisie, des jeunes diplômés chômeurs ont entamé une grève de la faim depuis trois semaines pour obtenir un emploi, a révélé le site d’information “ Basta !". Ces derniers ont affirmé que « pour lutter contre le terrorisme, il faut s’attaquer au chômage ». Pour ces jeunes, les récents attentats vont surtout « provoquer de l’instabilité politique, qui vient s’ajouter au désespoir économique ».
La revendication de ces jeunes, membres de l’Union des diplômés chômeurs (UDC), est d’obtenir un emploi. Pour Chahira « la priorité politique est d’aider les jeunes Tunisiens qui refusent de partir faire le djihad. Il faut vraiment des décisions politiques qui prennent en considération notre combat ».
« Le pays s’en va en guerre contre le terrorisme et les revendications sociales n’ont plus de place. L’éradication du terrorisme ne doit pas signifier l’éradication des libertés, des droits et des revendications sociales », a expliqué à “ Basta !", Abdeljabbar.
Pour l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), présente au Forum Social Mondial : « Pour lutter contre le terrorisme, il faut s’attaquer au chômage », a assuré le secrétaire régional, Ben Hamed Slah. Pour les jeunes de Gabès, « le FSM nous permettra aussi de montrer notre solidarité et notre unité, alors que les terroristes veulent que nous arrêtions de vivre », a expliqué Ala Ben Kabeh, journaliste de 22 ans.
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