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30 mars 2007
La très grande majorité des salariés de la Société Delmas-Vieljeu (SDV), Réunitrans, Soretrans et SDMM, toutes sociétés du groupe Bolloré, s’est mis en grève hier, après une quatrième réunion de négociations annuelles obligatoires (NAO) tenue la veille sans résultat. 80 des 94 salariés de la SDV sont en grève. Les trois autres sociétés, réunies en Unité économique et sociale (UES) depuis mai 2001 et regroupées avec la SDV pour des négociations uniques depuis seulement l’année dernière, sont elles aussi paralysées.
A la tête du groupe, un seul patron, M. René Hoareau, dont Témoignages n’a pu recueillir hier de déclaration. Selon le directeur financier du groupe, la direction ne souhaite pas s’exprimer sur les revendications. Celles déposées par les salariés du groupe portent d’abord sur le niveau des salaires, dont l’augmentation, stationnée à 3% selon les grévistes, est jugée insuffisante. « Les sociétés ont fait beaucoup de bénéfices ; on le voit sur les graphiques de Bolloré, où le cours de l’action monte en flèche. Une grosse partie de ces bénéfices, plus de 90%, va aux actionnaires. Pour les salariés, c’est le strict minimum : 2,2% pour le coût de la vie +100 euros, soit environ 3%. Nous demandons 5% », explique Alain Paviel, secrétaire général du Syndicat des transporteurs de La Réunion, au nom des grévistes. Les salariés critiquent également le fait que 200.000 euros de “frais de holding”, sont envoyés chaque année vers le siège de Paris-Puteaux-La Défense.
Les autres revendications mentionnent la demande d’un chèque-déjeuner, la prime de panier pour les transporteurs qui prennent leur poste avant 6h, une prime d’ancienneté de 1% par année passée dans l’entreprise. Les grévistes demandent aussi à leur direction de s’engager à négocier une révision des classifications des emplois. En l’absence de Convention collective pour le Transport et le Transit, à La Réunion, on répond souvent aux salariés qu’il n’y a pas de grille des salaires, mais ceux-ci font observer qu’à la SAMR - qui appartient aussi au groupe Bolloré - la reconnaissance de l’ancienneté a été intégrée à la grille des salaires.
Enfin, les grévistes soulèvent un dernier point, relatif à la participation et l’intéressement des salariés (Code du Travail, L. 132-27). « Cela devrait faire partie des négociations annuelles (NAO), puisqu’il n’y a pas d’accord de branche » ajoute Alain Paviel. Un point sur lequel la direction de la SDV reste réservée.
P. David
UIR CFDT
Les conséquences des carences dénoncées
L’UIR CFDT a publié hier ce communiqué
Jeudi 29 mars 2007 au Théâtre de Champ Fleuri, la Présidente du Département a rencontré les Assistants Familiaux et l’ensemble des services sociaux de la collectivité intervenant auprès des enfants placés.
La Présidente a décidé, sous prétexte de la mise en place de la loi 2005-
706 du 27 juin 2005 relative aux assistantes maternelles et aux assistants
familiaux, de fustiger et de concentrer son discours essentiellement sur les
insuffisances professionnelles des équipes médico-psycho-sociales et de leurs
responsables.
Depuis plusieurs mois, ces professionnels n’ont eu de cesse d’interpeller la collectivité sur la carence des moyens, l’inadaptation des locaux, la précarisation des emplois, le parasitage des missions premières et obligatoires et l’absence de coordination dans les politiques d’actions sociales avec les partenaires et prestataires.
Ces professionnels déplorent le manque de sang-froid de la collectivité, lequel ne saurait masquer les insuffisances du Département en matière de protection de l’Enfance. Les instances judiciaires constatent comme eux, l’état de ces services.
Le syndicat INTERCO - CFDT apportera toujours son soutien aux salariés qui n’ont comme unique préoccupation que la protection de l’Enfance et des familles les plus en difficulté dans notre département.
La section CFDT - INTERCO du Conseil Général
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