
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Nombreux défilés à l’appel de l’intersyndicale FO-CGT-FSU-Solidaires
10 avril 2015, par
Des milliers de manifestants ont été recensés entre la place d’Italie et les Invalides à Paris, et dans les grandes villes de province des dizaines de milliers de salariés ont défilé jeudi suite à l’appel de la CGT, de FO, de la FSU, et de Solidaires, « contre l’austérité, pour les salaires, les services publics, l’emploi, la protection sociale ».
En tête du cortège de la manifestation du 9 avril, une large banderole sur laquelle était inscrite : « Contre l’austérité, pour les salaires, les services publics, l’emploi, la protection sociale ». Les salariés du public et du privé étaient appelés à descendre dans la rue dans les 70 défilés prévuss en province et à Paris.
Cette grève nationale est, pour Philippe Martinez de la CGT, l’occasion de rassembler et de mobiliser ses troupes. Le syndicat a tout mis en place pour la réussite de la cette manifestation d’environ 5 kilomètres à Paris. La CGT s’est fixé comme objectif de rassembler plus de 100 000 manifestants pour battre le pavé. Pour cela, plus de 250 bus ont été affrétés pour permettre aux militants de province de rallier la capitale.
D’après France Télévision, à 14h50, ils étaient 7 000 à Marseille selon la police, 10 000 à Bordeaux pour la CGT contre 4 700 pour la police. Même chose à Toulouse, 8 000 manifestants selon les organisateurs, contre 4 000 selon la police. A Nantes, il était 3 000 selon la police, 2 200 à Rennes pour la préfecture et à Rouen, les organisateurs ont dénombré 5 000 personnes, contre 2 800 selon la police.
Interrogé sur France2, Philippe Martinez a indiqué qu’ « il y a beaucoup de mouvements dans les entreprises sur l’emploi et les salaires comme par exemple à Radio France ». Ce dernier était au côté du leader de FO, Jean-Claude Mailly, dont l’objectif cette fois-ci est de « faire converger ces luttes. »
A plusieurs reprises, les syndicats ont annoncé leur rejet du pacte de responsabilité instauré par le gouvernement, lors des différentes étapes du dialogue social mis en place entre l’État et les partenaires sociaux, en septembre 2014 et janvier 2015. Les cinq syndicats organisateur ont également dénoncé la rigueur budgétaire, la réforme territoriale et plusieurs dispositions de la loi d’Emmanuel Macron.
Ces mesures aggravent les « inégalités » pour la CGT, qui a de nouveau dénoncé : « Quand le MEDEF demande, le gouvernement donne aux entreprises ». Philippe Martinez a évoqué sa volonté de voir les salariés bénéficier de l’augmentation du salaire minimum à 1 700 euros et la revalorisation de celui-ci pour les autres catégories.
« Le slogan qu’on a pris c’est « Maintenant ça suffit ! », il faut le social, mais pour le moment on n’est pas entendus », a indiqué Jean-Claude Mailly. Ce dernier a dénoncé la position du gouvernement, qui permet à Pierre Gattaz, patron du MEDEF, d’avoir « plus l’oreille du gouvernement que les organisations syndicales ».
« Ça fait des mois qu’on explique au gouvernement qu’il faut changer d’orientation économique, qu’on est dans une logique d’austérité, ça se voit sur l’emploi, le chômage, les investissements publics, les salaires ». Une position partagée par l’aile gauche du PS, dont Martine Aubry, les frondeurs, le Front de gauche et le NPA, qui dénoncent la politique social-libérale de Manuel Valls et François Hollande.
En dépit de cet appel national, il a été annoncé par les médias que les perturbations pour les usagers étaient « relativement modestes ». La SNCF et la RATP ont prévu un trafic normal sur leurs lignes et réseaux.
Cependant, les écoles et les hôpitaux sont les plus touchés. Le personnel hospitalier dénonce « marchandisation de la santé » et la dégradation de « la qualité des soins et des services ». Du côté des établissements scolaires, le SNUipp-FSU (1er syndicat du primaire) et le Snes-FSU, principal syndicat du secondaire, ont appelé à cesser le travail pour dénoncer le blocage des salaires des fonctionnaires depuis 2010.
Pour Eric Beynel, co-porte-parole de Solidaires, il y a un « ras-le-bol contre ces politiques d’austérité qui nous conduisent à la catastrophe ». Ce dernier veut le retrait du projet de loi du ministre de l’économie Emmanuel Macron.
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