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Boutique « Tafia et Galabé » de la Distillerie Savannah
3 novembre 2009
Six des sept guides de la boutique “Tafia et Galabé” de la Distillerie Savannah ont entamé une grève illimitée, ce lundi 2 novembre 2009, devant leur boutique de Bois-Rouge, à Saint-André. Leurs revendications touchent autant leurs conditions de rémunération que leurs conditions de travail. Les six femmes guides accusent notamment leur responsable commercial d’user de pratiques douteuses et mensongères à la limite du harcèlement moral. Une réunion de négociation est prévue ce mardi 03 novembre.
Les six guides grévistes, saisonnières, sont passées par l’ANPE pour se faire embaucher, en juillet dernier, par la boutique “Tafia et Galabé”. L’annonce stipulait un salaire de 1337 euros, soit le smic pour un temps plein basé sur 51,67 heures de travail mensuel. Mais les grévistes affirment n’avoir jamais été payé à la hauteur des engagements. « Quelle ne fut pas notre surprise lorsque notre premier salaire n’a pas dépassé les 400 euros », s’insurge Sandrine Honorine, l’une des saisonnières gréviste. Leur contrat de travail ne précise pas le nombre d’heures travaillées dans le mois, autrement dit les salaires ne sont pas mensualisés contrairement aux promesses faites oralement. Les guides se sont récemment tournées vers l’inspection du travail qui, selon elles, a confirmé l’illégalité des contrats de travail signés entre la direction et les employées.
Par ailleurs, ces guides, chargées de faire visiter l’usine de sucrerie et la distillerie de Savannah, ne connaissent aucun des gestes de sécurité à adopter en cas de d’incendie ou même d’accident. La dangerosité des machines qu’elles présentent demeurent encore mystérieuses pour ces saisonnières embauchées depuis quatre mois. « Il est bien dommage de devoir réclamer une formation en matière de sécurité au travers d’un mouvement de grève, mais c’est le seul moyen que nous voyons pour être écoutées par notre direction », explique Sandrine Honorine. Les grévistes affirment avoir tenté de discuter de ces principaux points de discorde à l’amiable avec la direction mais sans succès.
Le troisième point des revendications, sur lequel les six grévistes refusent catégoriquement de transiger, concerne leur responsable commercial. Les femmes le veulent toutes hors des bureaux. « Il a des méthodes de communication plus que douteuses. Il nous a souvent menti. Il nous a affirmé que nous n’avons pas le droit aux tickets restaurants par exemple. Ou encore, suite au chômage technique provoqué par un incident de la centrale thermique, il nous a poussé à prendre des congés payés en nous disant que nous pénaliserions toute l’équipe si nous refusions, alors que les saisonniers n’y ont pas le droit » Autre point, l’homme n’organiserait que des entretiens individuels, jamais de réunion pour fragiliser ses salariées.
En outre, ce responsable commercial aurait déjà été accusé de harcèlement moral et sexuel par 13 guides l’année dernière. « Nous comprenons mieux pourquoi sur les sept guides, six sont des femmes », témoigne la gréviste en colère.
Dernier point de leurs revendications, les guides réclament la consolidation de l’emploi à l’avenir. « Cette demande ne nous concerne pas puisque nous terminons toutes notre contrat saisonnier le mois prochain. Mais ce turn-over de la boutique ne peut pas durer », explique la porte-parole du mouvement de grève.
Une première négociation est prévue avec la direction aujourd’hui, mardi 03 novembre 2009. Les six guides grévistes seront dans la boutique dans le courant de la matinée et se déplaceront ensuite en direction des bureaux de la direction, également sur le site de l’usine, derrière la sucrerie. Une chose apparaît indiscutable : les six femmes ne reprendront pas le travail tant que ce responsable commercial ne sera pas hors de la boutique.
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Messages
4 novembre 2009, 22:23, par denpa
en passant je me suis arrêtter pour discuter un peu avec les filles qui fesaient grêve. Je tiens à félicité ces mêres de famille qui ont osé dire non aux divers pression. J’invite tout ceux qui veulent à venir soutenir le travaille dans la dignité demain à partir de 9h00 et surtout à une direction qui on choisit d’accorder leur confiance à une personne douteuse sans vouloir écouter les échos d’en face