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Crise en Europe
24 mars 2012, par
Depuis le début de la crise de la dette souveraine en Europe, les pays principalement touchés, tels que les gouvernements espagnol, grec, portugais, et maintenant italien, décident de réformer le marché du travail public et privé.
Ces réformes, imposées par la Troïka au détriment de la croissance et des populations, facilitent les licenciements et accentuent la précarité. Le président du Conseil italien a proposé sa réforme du Code du travail au Conseil des ministres. Mais il n’a pas obtenu l’accord de la Confédération générale italienne du travail (CGIL), le principal syndicat italien, qui appelle à la grève générale.
Licencier avec facilité
La réforme veut moderniser le Code du travail italien mis en place dans les années 1970, pour la raison que celui-ci bloque la croissance. Le chef du gouvernement veut lutter contre « les licenciements quasi impossibles dans les grandes entreprises » et la « précarité accrue du travail, sans filets sociaux dignes de ce nom », indique l’“Agence France Presse”. Le gouvernement souhaite donc rendre plus faciles les licenciements économiques à travers une modification de l’article 18 du statut des travailleurs sur les licenciements. C’est cette modification qui a été refusée uniquement par la seule CGIL.
L’État prévoit une obligation de réintégration du salarié uniquement en cas de licenciement discriminatoire (ex : femme enceinte). Dans le cas d’un licenciement disciplinaire (pour faute), c’est un juge qui devra décider entre la réintégration (si l’employeur est débouté) ou une indemnisation pour un maximum de 27 mensualités, a indiqué “Le Monde”. De plus, pour un licenciement économique, Mario Monti pose une indemnisation d’un minimum de 15 mois à un maximum de 27 mois de salaire.
Risque de grève générale
Mario Monti n’a pas trouvé d’accord avec les syndicats italiens, notamment la Confédération générale italienne du travail, composée de 5 millions d’adhérents, qui a claqué la porte des négociations. En dépit de tout accord, le chef de l’État va tenter de passer en force son projet de réforme du Code du travail. Cependant, le chef du gouvernement pourrait faire face à une grève générale, car le leader de la CGIL, Susanna Camusso, a expliqué que la proposition est « totalement déséquilibrée », et que, contrairement aux autres syndicats, ils vont faire « tout pour s’y opposer ».
Après l’austérité et les libéralisations, Mario Monti, impuissant sans la coalition au pouvoir, pourrait être mis en minorité avec la réforme du travail qu’il propose. En effet, le Parti démocrate, deuxième parti de la coalition au Parlement, a annoncé son opposition à la réforme. Le chef de file, Pier Luigi Bersani, a exprimé sur “Reuters” sa colère contre l’attitude de Mario Monti, qui ignore, selon lui, les critiques. « Est-ce que je me suis bien exprimé ? Nous n’avons pas à prendre ou à laisser (les réformes). Nous voterons uniquement si nous sommes convaincus », a-t-il déclaré.
Cette situation pourrait remettre en cause la coalition au pouvoir, et le chef de l’État être désavoué pour une réforme qu’il considère comme « la priorité de son action à la tête de l’Italie ».
Céline Tabou
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