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Intervention de la CGTR à la Marche des Libertés à Saint-Paul
18 janvier 2021
La CGTR est partie prenante du Collectif #Stoploisecuriteglobale. Elle a apporté un important soutien au succès de la Marche des libertés organisée par 8 syndicats dont le SNJ et le SNJ-CGT et des ONG dont la LDH, Greenpeace et Extinction rebellion, et par des victimes de violences policières. Voici le discours de Jacques Bhugon, représentant de la CGTR, devant la sous-préfecture de Saint-Paul, terme de la manifestation de samedi 16 janvier à Saint-Paul.
La Coordination Stop loi sécurité globale est constituée de plus de 70 organisations, dont des syndicats de journalisme avec le SNJ-CGT, des associations des droits humains, des confédérations dont la CGTR, des professions de l’image, des collectifs de famille victimes de violences policières.
Cette loi a été adoptée par l’Assemblée nationale le 24 novembre 2020. Une nouvelle lecture est prévue au Sénat fin janvier.
Concernant le SNMO, Schéma national du maintien de l’ordre, il a été rédigé dans l’opacité, sans réelle concertation.
Cette loi porte atteinte à la liberté de manifester. Elle a une approche répressive sur les manifestations, où l’usage de la force est central, à l’opposé des pratiques du dialogue.
Ces dispositifs répressifs, comme les fichages des militant-e-s ou plus largement de la population avec une collecte d’informations multiples, dont l’appartenance syndicale et les opinions politiques, sont des outils à la main d’un gouvernement de plus en plus autoritaire, qui ont été adoptés dans l’urgence, sans se soucier du respect des droits humains.
Il répond simplement à une volonté de généraliser une surveillance accrue et massive de la population, d’empêcher les professionnels de la presse et de l’image d’exercer leurs missions d’analyses et d’information, d’empêcher les salarié-e-s, les privé-e-s- d’emploi et les retraité-e-s de s’organiser pour défendre leurs intérêts, pour conquérir de nouveaux droits et garanties sociales.
C’est pourquoi la CGTR est partie prenante au sein de la Coordination Stop loi sécurité globale.
Dans un contexte social très dégradé consécutif à des choix gouvernementaux et patronaux, la CGTR et des organisations militantes progressistes et plus largement la population doivent pouvoir exercer pleinement leurs droits de manifester, d’exercer des mandats publics-avoir une activité syndicale, de s’exprimer librement et publiquement, sans être fiché, inquiété, entravé ou réprimé.
Face à la casse de notre système social solidaire, mener la bataille pour les libertés et les droits collectifs est une nécessité incontournable, notamment pour notre organisation syndicale, qui est attachée à un syndicalisme de classe et de masse, seul à même d’obtenir un rapport de force pour gagner une véritable politique de transformation sociale.
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