
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Grève à la SBTPC (suite)
16 mars 2005
’Le mouvement semble s’essouffler’, diront les mauvaises langues patronales. Pourtant, les grévistes les plus tenaces continuent à mettre la pression sur la direction de la SBTPC. Une réunion a été organisée hier après-midi entre les deux parties.
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Un fax a été envoyé par l’intersyndicale à la direction. Les organisations syndicales réclament l’abolition du travail forcé. Hors de question de continuer à travailler le samedi pour un oui ou pour un non. "L’article 6 de l’accord des 35 heures doit être revu", indique Raymond Payet (CGTR). Cet article stipule que "pour les cas exceptionnels", le patron d’une entreprise pouvait solliciter des travailleurs "volontaires" pour rattraper le retard sur un chantier. C’est à croire que les salariés du chantier “les 9 planètes” sont contraints de rattraper un retard considérable, puisqu’il leur est demandé de venir coûte que coûte, le samedi. Des sanctions sont même engagées contre ceux qui omettraient de s’y conformer.
Les syndicats demandent par ailleurs le retrait des sanctions pour tous les salariés qui ont refusé de se soumettre à cet horaire imposé. Hier après-midi, ils se sont tous retrouvés devant les locaux de la SBTPC au Port, après invitation de la direction. Reçue durant près de 4 heures, la délégation syndicale déplore que les dirigeants restent stationnaires sur les revendications des salariés, notamment sur la question des aménagements des horaires. La direction se défend de revoir les accords des 35 heures, tant que ne sera pas révisé l’accord de branche du BTP.
Autant dire que les salariés devront attendre encore longtemps. Quant à la suppression du travail le samedi, la direction répond que "le chantier a pris du retard" et qu’elle se retrouve coincée pour répondre au délai de livraison. Les salariés sont donc sollicités, à titre exceptionnel. La direction de la SBTPC notait que ce n’était pas dans son intérêt de faire travailler ses salariés durant 6 jours de la semaine. L’intersyndicale espère que seuls les volontaires seront appelés, et non pas tout le personnel du chantier pour un retard dont ils ne sont pas responsables. Le Président directeur général de la SBTPC, Georges Roger, s’entretenait hier avec ses plus proches lieutenants pour définir comment rattraper ce retard, et avec quels volontaires.
La grève est pour l’heure suspendue, même si les organisations syndicales promettent de rester sur le qui vive. Le travail reprend donc le courant des choses dès aujourd’hui.
Bbj
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