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Conflit de la SANE
14 août 2004
Aucun gréviste de la SANE n’a été condamné hier, la Justice a imposé la tenue de négociation sous la médiation d’un inspecteur du travail à la DDE et laisse cinq jours aux deux parties pour trouver une solution au conflit.
Les grévistes de la Société Agricole de Nord-Est (SANE) étaient convoqués hier matin au tribunal de grande Instance pour s’expliquer devant la justice car la direction, sans remettre en cause le droit de grève, voulait les faire condamner pour entrave à liberté de travailler.
Devant la juge, les grévistes ont exprimé leur volonté première d’ouvrir des négociations. Ils ont fait noter que dès le début de la campagne ils ont voulu trouver un accord pour le respect du chargement et le respect du temps de repos. Ils demandent également la réintégration d’un de leurs camarades, sanctionné et licencié pour avoir voulu respecter ces règles de sécurité.
Le Tribunal a insisté sur la nécessité de faire cesser le blocage et de mener à bien les négociations. La direction et les grévistes ont cinq jours pour trouver un terrain d’entente.
Pour Jean-Yves Payet, secrétaire général de l’Union Régionale Est de la CGTR, hier matin "le patron voulait nous faire condamner. Il a dépensé des milliers d’euros en huissiers, en gardes du corps, en vigiles, en avocat... Tout cela est parti en fumée, il n’y a eu aucune condamnation pour les camarades et la justice a imposé les négociations à la direction, avec un médiateur".
Les négociations ont de fait commencé dès 14 heures et ont duré jusqu’à 19 heures sous la médiation d’un inspecteur du Travail à la Direction Départementale de l’Equipement. Les discussions ne sont pas terminées mais la CGTR note "une grande avancée". Jean-Yves Payet confie avoir obtenu confirmation auprès de la DDE que "l’ensemble des entreprises de cachalots sont en infractions" et que "les contrôles s’intensifient pour que les entreprises soient obligées de respecter les règles de sécurité".
Les négociations vont donc continuer. La direction proposant de ne les reprendre que lundi à 14 heures, le mouvement de grève continue aujourd’hui, demain et lundi jusqu’à la réouverture du dialogue.
Reste encore le cas litigieux du licenciement infligé à un des travailleurs et le problème du paiement des salaires des grévistes. La CGTR souhaite une procédure pour que la direction assure ces paiements, et envisage le cas échéant d’avoir recours à une liste de souscription de solidarité, les travailleurs ayant fait grève dans l’intérêt général de la population en matière de sécurité routière.
Jean-Yves Payet fait remarquer que maintenant, "si la législation est appliquée correctement, des milliers d’heures de travail vont être créées pouvant se traduire par une dizaine d’emplois grâce à cette grève".
Eiffel
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