
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Réforme des retraites
20 mars, par
Le premier ministre a annoncé cyniquement qu’il n’est pas question de revenir sur la retraite à 64 ans, surtout en temps de renforcement de la défense nationale. La guerre passe avant tout. Pour la CGTR c’est inacceptable ! Les promesses du « conclave » sont passées à la trappe, la trahison du gouvernement est ignoble.
La CGTR dénonce et déconstruit les mensonges de ce gouvernement sur les retraites :
« On vit plus longtemps, donc il faut travailler plus longtemps »
L’espérance de vie en bonne santé stagne autour de 64 ans. Demander à toutes et tous de travailler plus longtemps revient à condamner des millions de salariés à une fin de carrière marquée par la souffrance et la précarité.
La CGTR défend un départ à 60 ans à taux plein avec une réelle prise en compte de la pénibilité.
« Le système des retraites est en déficit »
Selon le conseil d’orientation des retraites (COR), le prétendu trou des retraites résulte des exonérations de cotisations sociales accordées aux entreprises.
Des solutions existent pour financer les retraites : 11 milliards d’euros en imposant l’égalité salariale femmes/hommes, 7 milliards d’euros en luttant contre la fraude aux cotisations, 14 milliards d’euros en taxant les revenus financiers au même niveau que les salaires.
« Les régimes spéciaux sont des privilèges »
Les régimes spéciaux ont été acquis pour compenser des conditions de travail spécifiques (pénibilité, horaires décalés, risques accrus). Leur suppression ne crée pas d’égalité mais nivelle par le bas pour tous les salariés.
La CGTR revendique une harmonisation par le haut, en élargissant ces droits à d’autres professions.
« Les seniors peuvent travailler facilement jusqu’à 64 ans »
A 62 ans, un salarié sur 2 n’est déjà plus en emploi. La réforme plonge des milliers de seniors dans un sas de précarité, entre chômage et RSA.
La CGTR revendique un retour à la retraite à 60 ans.
« Plafonner les dépenses de retraite à 14 % du PIB est une bonne mesure »
Fixer un plafond budgétaire signifie mécaniquement de baisser les pensions car le nombre de retraités augmente. Pendant que le gouvernement veut plafonner les retraites, 100 milliards d’euros de dividendes ont été versés aux actionnaires du CAC 40 en 2024, les exonérations de cotisations sociales continuent d’exploser.
La CGTR exige une politique de financement solidaire et une taxation des superprofits, l’arrêt des exonérations patronales injustifiées et sans aucune contrepartie.
« La retraite par capitalisation est une bonne alternative »
Là ou elle existe (Etats-Unis, Pays-Bas), elle creuse les inégalités et dépend des marchés financiers, mettant en danger les pensions en cas de crise. C’est une totale absence de solidarité, seuls ceux qui ont les moyens peuvent s’assurer une retraite convenable. Pour les autre c’est la misère.
La CGTR défend la retraite par répartition, système solidaire et sécurisé.
« Il n’y a pas d’alternative à la réforme de 2023 »
Un retour à la retraite à 60 ans est possible avec un financement juste et solidaire.
La CGTR revendique une retraite à 60 ans avec 75 % du dernier salaire, une indexation des pensions sur les salaires, un financement équitable fondé sur les cotisations et la taxation des superprofits.
Avec la CGTR et dans l’unité syndicale la plus large possible, exigeons l’abrogation de la réforme régressive de 2023 pour construire une véritable réforme sociale des retraites !
Mobilisons nous encore et toujours pour défendre nos droits !
La retraite n’est pas un privilège, c’est un droit nécessaire !
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