
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
19 août 2009, par
En fin de contrat, c’est au Pôle Emploi que les 483 assistants d’éducation vont devoir se tourner. Hier, une trentaine d’assistants d’éducation ont sollicité une rencontre avec la direction. Aucune solution ne leur est proposée.
Une trentaine d’assistants d’éducation accompagnés du Collectif Agir Pou Nout Tout ont fait irruption à la direction du Pôle emploi hier matin à Sainte-Clotilde. Objectif, en savoir plus sur ce qui les attend à la fin de leurs contrats dans l’Education nationale. A force de négociation, l’ensemble des assistants d’éducation présents ont pu assister à la réunion avec le directeur adjoint du Pôle Emploi dans le hall d’accueil du service public. Le Pôle Emploi ne disposant pas, semble-t-il, de salle de réunion susceptible d’accueillir la trentaine de personnes. La direction du Pôle Emploi n’a pas souhaité que la presse assiste à ces échanges.
Après plus d’une heure de discussion, une seule solution est proposée aux assistants d’éducation : la mise en place d’une cellule de reclassement. Bref, « le chômage assuré » commente Alice Morel, assistante d’éducation. « Pour nous, c’est la déception. La cellule de reclassement ne va pas servir à retrouver un emploi. On nous propose un bilan de compétences. Et parce que nous sommes déjà diplômés, on nous précise qu’il sera plus dur de retrouver un emploi », raconte Alice Morel. « 10 mois en moyenne avant de retrouver un emploi », ajoute t-elle.
Pour Jean-Hugues Ratenon, on refait les mêmes erreurs que dans le passé. En 2003, une cellule de reclassement avait été mise en place pour les assistants d’éducation. Aucun bilan n’a été fait. Aujourd’hui, on parle à nouveau de cellule de reclassement, dans un contexte de dégradation de la situation de l’emploi.
Hier, les assistants d’éducation étaient prêts à occuper les locaux du Pôle Emploi pour obtenir enfin l’organisation d’une table ronde avec les collectivités, l’AMDR, la préfecture, le rectorat.
Edith Poulbassia
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Messages
20 août 2009, 11:59, par isabel leblanc
si ces emlois restent toujours précaires, soit 6 ans maximum dans un établissement, et après avoir effectué un réel travail éducatif et une mise en confiance auprès des ados, alors les prochaines personnes qui vont prendre la place de ceux qui partent en septembre, qu’ont-elles à attendre de ces emplois, comment vont-elles s’investir dans leur travail si c’est pour être licenciées à leur tour dans peu de temps !
je suis à la recherche d’un emploi et j’ai postulé sur plusieurs collèges et lycées de mon département (24). j’ai aussi trois enfants et je ne prends pas ce problème à la légère car ce job devrait être reconnu comme un vrai métier. Cela fait parti des postes à responsabilité éducative comme les BAFD les directeurs de centre de loisirs et de vacances qui malgré leur travail et leur engagement n’ont pas ou peu de poste fixe mais ont la responsabilité physique, morale et éducative des enfants dont ils et elles ont la charge. Je suis dans ce cas et non reconnu comme professionnelle puisque le deplôme n’est pas professionnel, cela n’évolue guère depuis des décennies et si vous perdez votre emploi pour diverses raisons, toute votre expérience ne vaut plus beaucoup, vous repartez sur des salaires au SMIC et des contrats précaires CDD ... comme pour les assistants d’éducation.